Mieux comprendre ChatGPT, sans pour autant l’excuser pour ses fakes éhontés. Pour tout comprendre aux IA génératives.
Une excellente vidéo que je recommande, très très claire et très bien documentée, du bon Defakator en somme !
Mieux comprendre ChatGPT, sans pour autant l’excuser pour ses fakes éhontés. Pour tout comprendre aux IA génératives.
Une excellente vidéo que je recommande, très très claire et très bien documentée, du bon Defakator en somme !
Récemment, j’ai re-migré Firefox de la version « snap » imposée par Ubuntu à la version « classique » par PPA et les dépôts.
Cependant, tout ne s’est pas bien passé malgré la synchronisation avec « Firefox Sync » censée synchroniser les données d’un compte à un autre, même si la version 111.0 sortie cette semaine doit permettre de résoudre encore un peu ces soucis… (j’aurais dû attendre un peu haha !)
Une partie de mon profil avait été importé, les onglets étaient visibles en liste comme s’ils étaient accessibles sur un autre appareil et aucune de mes extensions ni configuration n’ont été rétablies.
Heureusement, il est toujours possible de récupérer son dossier et le transférer dans la version classique.
J’ai simplement suivi ce que cet utilisateur a gentiment partagé sur le forum d’Ubuntu mais pour passer de la version classique à snap : https://askubuntu.com/a/1289004
Je le remets ici en français au cas où pour, cette fois, passer de snap à la version ppa :
/home/$USER/snap/firefox/common/.mozilla/firefox
<chaîne aléatoire>.default-release
/home/$USER/.mozilla/firefox
<chaîne aléatoire>.default-release
.default-release
en .default
Path=<chaîne aléatoire>.default
remplacer <chaîne aléatoire>
par la chaîne de caractère de votre dossier que vous venez de coller afin que le système comprenne qu’il s’agit de ce dossier à regarder.Bon, pour les utilisateurs de Thunderbird réguliers, rien de nouveau mais ça permet d’éviter le fameux mail :
Avec la pièce jointe c’est mieux !
Petite astuce donc pour que votre logiciel vous demande si vous n’avez pas oublié votre pièce jointe avant d’envoyer !
Rien de bien compliqué, aller dans :
Éditions > Paramètres > Rédaction
Descendre jusqu’à « Pièces jointes » et cocher la case « Vérification de pièces jointes manquantes ».
Puis cliquer sur « Mots-clés » et ajoutez les mots que vous utilisez le plus quand vous envoyez des PJ.
Dès que ces mots seront écrits, Thunderbird vous demandera si vous souhaitez ajouter une pièce jointe via un bandeau en bas de fenêtre.
Si vous essayez tout de même d’envoyer sans PJ, une fenêtre d’alerte s’affichera vous demandant si vous n’avez pas tout de même oublié une pièce jointe :
Par exemple, ma liste :
Non exhaustif, à vous de mettre vos mots en fonction de vos habitudes ;)
https://korben.info/windows-10-atlas.html
Tournant encore et toujours sous Ubuntu, il m’arrive parfois d’être malheureusement bloqué à cause de formats de fichier propriétaires nécessitants certains logiciels bien spécifiques disponibles uniquement sous Windows.
Ne voulant pas faire de « Dual Boot » avec 2 partitions (Linux et Windows sur le même disque dur mais séparé, ndlr), j’ai choisi de virtualiser Windows dans Linux via un logiciel de virtualisation (j’ai testé GNOME Machines mais pour Windows les performances étaient moyennes, je suis resté sous VirtualBox pour de meilleurs performances – Lien plus bas pour l’installation facile).
Je cherchais donc une version de Windows très légère pour la virtualisation.
Après essai, cet AtlasOS convient parfaitement !
(Environ 5 sec grand max pour arriver au bureau depuis le lancement en virtualisation. J’ai testé la version 20H2).
Il est possible de changer la langue du système malgré ce qui est indiqué dans le post de Korben. Pour ce faire, il faut changer la valeur d’une clé du registre de Windows :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Policies\Microsoft\Windows\WindowsUpdate
(Solution trouvée dans le Github d’AtlasOS – Apparemment ce sera implémenté d’office dans les prochaines versions).
Pour installer VirtualBox tel qu’empaqueté par l’équipe d’Ubuntu, installez les paquets virtualbox virtualbox-qt virtualbox-dkms virtualbox-guest-additions-iso virtualbox-guest-utils
Si vous n’êtes pas très ancrés dans la culture geek, sachez que depuis quelques temps, de nouvelles « IA » ont été rendues publiques pour créer des choses qui peuvent sembler assez magique aux premiers abords et même, presque « intelligentes ».
Avant de s’enflammer et de voir l’arrivée d’intelligences aussi poussées que certaines d’entre vous, il est intéressant de comprendre COMMENT ces algorithmes fonctionnent, et ce, pour 2 raisons :
Déjà, pour apprendre quelque chose… Et la 2e pour ne pas se faire entuber par ce qu’on lit ou entend.
Les 2 « IA » qui font parlées d’elles sont ChatGPT, l’IA d’Elon Musk, et les « IA » de créations d’images.
N’étant absolument pas du domaine, j’ai trouvé 2 vidéos très intéressantes de très bons vulgarisateurs pour l’expliquer de manière moins lourde qu’une tonne de texte écrit ici :D
(Regardez-les dans l’ordre pour mieux comprendre)
Dans ce vaste monde des « IA », une autre s’est fait particulièrement remarquée pour avoir réussi à « comprendre » une chose assez simple mais tellement complexe en science du vivant : le repliement des protéines.
Je me souviens de mes cours de biochimie où on m’avait appris qu’on n’arrivait pas à comprendre les mécanismes sous-jacents pour prédire de manière fiable la structure finale des protéines et que c’était un problème majeur en Biochimie.
Un sujet très intéressant mais très complexe, car, ce qu’il faut comprendre, c’est que pour le moment, voir des protéines en 3D (comment elles sont en vrai) est extrêmement difficile car l’environnement dans lequel elles sont influe beaucoup sur leur forme et il faut des techniques de purification extrême et des techniques de pointe longues, coûteuses et assez hasardeuses quant à leur succès malgré les efforts mis en œuvre (parfois ça marche et parfois pas du tout).
Un petit lien Wiki pour les très motivés : https://fr.wikipedia.org/wiki/Structure_des_prot%C3%A9ines !
Il s’agit de l’IA DeepMind (racheté par Google) qui a réussi cet exploit.
Cette super « IA » hyper-polyvalente capable de s’adapter à tout grâce au jeu (voir le podcast de France culture qui retrace les débuts de DeepMind, son rachat et pourquoi ce genre d’outils permet de montrer que la Recherche Académique (publique) peut très bien fonctionner conjointement avec de la Recherche Privée (entreprise)).
De manière plus récente, Google a également sorti son « IA » concurrente à ChatGPT appelée Sparrow qui fonctionne encore un peu différemment et repose sur DeepMind.
Elle permettrait d’être plus précise sur ce qu’elle énonce et éviterait les biais de ChatGPT (voir la 1e vidéo).
Comme elle est encore en accès fermé, on ne peut que faire confiance aux billets qui en parlent pour le moment (voir : https://www.deepmind.com/blog/building-safer-dialogue-agents ou ici : https://www.blogdumoderateur.com/sparrow-reponse-google-chatgpt)