Ressources

DEFAKATOR – 🤖 Comprendre ChatGPT

Attention, cet article date de 2 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Mieux comprendre ChatGPT, sans pour autant l’excuser pour ses fakes éhontés. Pour tout comprendre aux IA génératives.

Une excellente vidéo que je recommande, très très claire et très bien documentée, du bon Defakator en somme !

Récupérer ses données Firefox « snap » pour la version « classique » en cas d’échec de Firefox Sync

Attention, cet article date de 2 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Récemment, j’ai re-migré Firefox de la version « snap » imposée par Ubuntu à la version « classique » par PPA et les dépôts.

Cependant, tout ne s’est pas bien passé malgré la synchronisation avec « Firefox Sync » censée synchroniser les données d’un compte à un autre, même si la version 111.0 sortie cette semaine doit permettre de résoudre encore un peu ces soucis… (j’aurais dû attendre un peu haha !)

Une partie de mon profil avait été importé, les onglets étaient visibles en liste comme s’ils étaient accessibles sur un autre appareil et aucune de mes extensions ni configuration n’ont été rétablies.

Heureusement, il est toujours possible de récupérer son dossier et le transférer dans la version classique.

J’ai simplement suivi ce que cet utilisateur a gentiment partagé sur le forum d’Ubuntu mais pour passer de la version classique à snap : https://askubuntu.com/a/1289004

Je le remets ici en français au cas où pour, cette fois, passer de snap à la version ppa :

  1. Dans votre gestionnaire de fichier Ubuntu, afficher les dossiers cachés
  2. Ctrl + h
  3. Aller dans le dossier de votre profil snap Firefox : /home/$USER/snap/firefox/common/.mozilla/firefox
  4. Copier le dossier sous forme : <chaîne aléatoire>.default-release
  5. S’il y a plusieurs dossiers, copier celui créé le plus récemment (qui doit être celui modifié le plus récemment aussi)
  6. Coller ce dossier quelque part ailleurs.
  7. Installer la version « classique » de Firefox : https://www.omgubuntu.co.uk/2022/04/how-to-install-firefox-deb-apt-ubuntu-22-04
    (ATTENTION : à l’étape 3, comme précisé, le code n’est pas à copier ligne par ligne mais d’un seul bloc)
  8. Aller dans le dossier Firefox classique : /home/$USER/.mozilla/firefox
  9. Supprimer le dossier déjà présent sous forme : <chaîne aléatoire>.default-release
  10. Coller votre dossier précédemment mis de côté
  11. Renommer votre dossier en changeant l’extension .default-release en .default
  12. Éditer le fichier « profiles.ini » présent dans le dossier
  13. À la ligne : Path=<chaîne aléatoire>.default remplacer <chaîne aléatoire> par la chaîne de caractère de votre dossier que vous venez de coller afin que le système comprenne qu’il s’agit de ce dossier à regarder.

Ne plus oublier de pièces jointes sur Thunderbird

Attention, cet article date de 2 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Bon, pour les utilisateurs de Thunderbird réguliers, rien de nouveau mais ça permet d’éviter le fameux mail :

Avec la pièce jointe c’est mieux !

Petite astuce donc pour que votre logiciel vous demande si vous n’avez pas oublié votre pièce jointe avant d’envoyer !

Rien de bien compliqué, aller dans :

Éditions > Paramètres > Rédaction

Descendre jusqu’à « Pièces jointes » et cocher la case « Vérification de pièces jointes manquantes ».

Puis cliquer sur « Mots-clés » et ajoutez les mots que vous utilisez le plus quand vous envoyez des PJ.
Dès que ces mots seront écrits, Thunderbird vous demandera si vous souhaitez ajouter une pièce jointe via un bandeau en bas de fenêtre.
Si vous essayez tout de même d’envoyer sans PJ, une fenêtre d’alerte s’affichera vous demandant si vous n’avez pas tout de même oublié une pièce jointe :

Fenêtre d’alerte de rappel pour pièces jointes

Par exemple, ma liste :

  • PJ
  • pièce jointe
  • joins
  • joints
  • jointes
  • je vous envoie
  • attaché
  • CV
  • Lettre de motivation
  • pdf
  • doc

Non exhaustif, à vous de mettre vos mots en fonction de vos habitudes ;)

AtlasOS – Le Windows 10 optimisé pour la virtualisation

Attention, cet article date de 2 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

https://korben.info/windows-10-atlas.html


Tournant encore et toujours sous Ubuntu, il m’arrive parfois d’être malheureusement bloqué à cause de formats de fichier propriétaires nécessitants certains logiciels bien spécifiques disponibles uniquement sous Windows.

Ne voulant pas faire de « Dual Boot » avec 2 partitions (Linux et Windows sur le même disque dur mais séparé, ndlr), j’ai choisi de virtualiser Windows dans Linux via un logiciel de virtualisation (j’ai testé GNOME Machines mais pour Windows les performances étaient moyennes, je suis resté sous VirtualBox pour de meilleurs performances – Lien plus bas pour l’installation facile).

Je cherchais donc une version de Windows très légère pour la virtualisation.

Après essai, cet AtlasOS convient parfaitement !
(Environ 5 sec grand max pour arriver au bureau depuis le lancement en virtualisation. J’ai testé la version 20H2).


Il est possible de changer la langue du système malgré ce qui est indiqué dans le post de Korben. Pour ce faire, il faut changer la valeur d’une clé du registre de Windows :

  • Appuyer sur la touche Windows + r
  • Taper « regedit » sans les guillemets et valider
  • Aller dans HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Policies\Microsoft\Windows\WindowsUpdate
  • Changer la valeur de « DoNotConnectToWindowsUpdateInternetLocations »
    (double-cliquer sur la clé de registre et changer la valeur de « Value data » à 0)
  • Enfin, dans les paramètres Windows, chercher « Language settings »
  • Sous « Preferred languages » cliquer sur le [+], choisir la langue voulue et cocher la case « Set as my Windows display language »
  • Redémarrer Windows

(Solution trouvée dans le Github d’AtlasOS – Apparemment ce sera implémenté d’office dans les prochaines versions).


Pour installer VirtualBox tel qu’empaqueté par l’équipe d’Ubuntu, installez les paquets virtualbox virtualbox-qt virtualbox-dkms virtualbox-guest-additions-iso virtualbox-guest-utils

(Ligne de code d’après le wiki Ubuntu)

De quoi ces nouvelles « IA » sont vraiment capables ?

Attention, cet article date de 2 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Si vous n’êtes pas très ancrés dans la culture geek, sachez que depuis quelques temps, de nouvelles « IA » ont été rendues publiques pour créer des choses qui peuvent sembler assez magique aux premiers abords et même, presque « intelligentes ».

Avant de s’enflammer et de voir l’arrivée d’intelligences aussi poussées que certaines d’entre vous, il est intéressant de comprendre COMMENT ces algorithmes fonctionnent, et ce, pour 2 raisons :

Déjà, pour apprendre quelque chose… Et la 2e pour ne pas se faire entuber par ce qu’on lit ou entend.

Les 2 « IA » qui font parlées d’elles sont ChatGPT, l’IA d’Elon Musk, et les « IA » de créations d’images.

N’étant absolument pas du domaine, j’ai trouvé 2 vidéos très intéressantes de très bons vulgarisateurs pour l’expliquer de manière moins lourde qu’une tonne de texte écrit ici :D

(Regardez-les dans l’ordre pour mieux comprendre)

Fonctionnement de ChatGPT et pourquoi il faut prendre des pincettes
Comment les IA inventent des images

Dans ce vaste monde des « IA », une autre s’est fait particulièrement remarquée pour avoir réussi à « comprendre » une chose assez simple mais tellement complexe en science du vivant : le repliement des protéines.

Je me souviens de mes cours de biochimie où on m’avait appris qu’on n’arrivait pas à comprendre les mécanismes sous-jacents pour prédire de manière fiable la structure finale des protéines et que c’était un problème majeur en Biochimie.

Un sujet très intéressant mais très complexe, car, ce qu’il faut comprendre, c’est que pour le moment, voir des protéines en 3D (comment elles sont en vrai) est extrêmement difficile car l’environnement dans lequel elles sont influe beaucoup sur leur forme et il faut des techniques de purification extrême et des techniques de pointe longues, coûteuses et assez hasardeuses quant à leur succès malgré les efforts mis en œuvre (parfois ça marche et parfois pas du tout).

Un petit lien Wiki pour les très motivés : https://fr.wikipedia.org/wiki/Structure_des_prot%C3%A9ines !

Il s’agit de l’IA DeepMind (racheté par Google) qui a réussi cet exploit.
Cette super « IA » hyper-polyvalente capable de s’adapter à tout grâce au jeu (voir le podcast de France culture qui retrace les débuts de DeepMind, son rachat et pourquoi ce genre d’outils permet de montrer que la Recherche Académique (publique) peut très bien fonctionner conjointement avec de la Recherche Privée (entreprise)).

De manière plus récente, Google a également sorti son « IA » concurrente à ChatGPT appelée Sparrow qui fonctionne encore un peu différemment et repose sur DeepMind.
Elle permettrait d’être plus précise sur ce qu’elle énonce et éviterait les biais de ChatGPT (voir la 1e vidéo).
Comme elle est encore en accès fermé, on ne peut que faire confiance aux billets qui en parlent pour le moment (voir : https://www.deepmind.com/blog/building-safer-dialogue-agents ou ici : https://www.blogdumoderateur.com/sparrow-reponse-google-chatgpt)

Merci ChatGPT, je me coucherai moins bête !