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Ces mots qui font défaut en sciences

Je ne vais pas vous l’apprendre, les mots sont très importants pour caractériser des choses.

S’il existe autant de mots c’est pour être le plus précis possible lorsqu’on parle.

Dans la vie courante, on n’a pas besoin d’être très rigoureux sur le choix des mots, une certaine quantité suffit à se faire comprendre facilement, même avec des « trucs », « machins », « choses », etc.

En sciences, on a besoin de cette rigueur pour expliquer au mieux de ce quoi on parle, chaque objet, chaque principe, chaque matière, chaque molécule a un nom, etc.
En fonction des disciplines dans lesquelles on se trouve, les mots ne seront pas les mêmes.
Pour être au plus proche de ce qu’on fait et pour que toute autre personne voulant refaire ou réfléchir à une expérience soit en capacité de le faire, il est indispensable d’être rigoureux.

Cette rigueur peut aussi être un défaut, car ça rend les recherches pointues très compliquées à comprendre avec des termes très techniques de partout et parfois, une même chose peut être décrite avec différents noms en fonction du domaine d’application.

De même pour faire une recherche, il faut absolument avoir les termes exactes pour trouver l’information et donc on peut être bloqué si on ne connaît pas les mots (l’IA sera une grande aide là-dedans je pense dans quelques temps pour trouver des informations de qualité avec de la compréhension sémantique, c’est-à-dire être capable de comprendre le sens des mots et les mots associés).

Il y a également des mots qui n’ont pas le même sens en sciences que dans la vie courante.

Par exemple, les mots :

  • « Critique », dans la vie courante c’est « porter sur quelqu’un, quelque chose un jugement défavorable en en faisant ressortir les défauts ».
    En sciences, c’est pour « faire une analyse critique », examiner les qualités et les défauts, sans jugement et répondant à des interrogations légitimes, comme savoir s’il n’y a pas de biais dans les résultats, si la démarche est bonne et répond à la question, etc.
  • « Théorie », dans la vie courante, une théorie c’est une hypothèse, quelque chose dont on n’est pas sûr.
    En sciences (hors maths dans lesquelles les théories sont démontrées), c’est un modèle robuste avec le plus haut degré de crédibilité dans lequel on a assez d’arguments (règles, observations) et de modèles justes pour prétendre qu’il représente au mieux la réalité (on ne parle jamais de vérité absolue en sciences car les connaissances évoluent toujours et on peut être amené à changer les modèles).

Ces 2 simples mots sont pourtant à la base de la démarche scientifique et sont malheureusement mal compris.

Zelda : Tears of the Kingdom – Choses à savoir (sans spoiler)

Le jeu est rempli de petites choses plus ou moins cachées et qui peuvent grandement servir !

Garanti sans spoiler, ce sont juste des petites aides.


Suivre les nuées d’oiseaux

Il arrive que des nuées d’oiseaux volent au-dessus de certains spots si vous regardez en l’air.
Ils indiquent des points d’intérêt (entrée de grotte, trésor, etc).


Suivre le lapin blanc

Les Rumys sont les petits lapins blancs qui lâchent des rubis quand on les frappe.
Suivez-les quand ils partent, ils indiquent une entrée de grotte dans la direction où ils disparaissent.


Apprendre à jeter les objets

En maintenant la touche « R » pour jeter une arme, maintenez cette touche puis appuyez sur la touche ⯅ pour choisir un objet à lancer à la place (bombes, graines lumos, fruit de feu, etc).
Cette astuce permet d’économiser beaucoup de flèches et d’augmenter grandement la durabilité des arcs.


Bien lire les descriptions d’objets

Contrairement à Breath of the Wild (BOTW), les objets ont beaucoup plus d’usage. Tout est indiqué (ou presque) dans les descriptions, même si certains laissent la part de surprise quand il sont fusionnés.


Faire la chasse aux fées

Contrairement à BOTW, les petites fées ne se trouvent plus à proximité des fontaines des grandes fées (il suffisait de se téléporter dans toutes les fontaines et faire une razzia sur toutes les petites fées pour être tranquille.
Et leur nombre est limité.
Une fois acquis 3 petites fées dans votre inventaire, celles-ci ne réapparaissent pas dans les zones où elles sont trouvables.
La petite astuce est d’en avoir 2 en inventaire et de réussir à prendre 3 fées de plus dans une zone pour un total de 5 (au lieu de 3 maximum).
C’est donc une ressource très rare.


Le système d’XP caché

Comme dans BOTW, un système de points d’XP (points d’expérience) est intégré mais caché.
Plus vous battrez de monstres forts, plus les monstres seront forts et plus les armes récupérées seront également fortes ainsi que les pièces de monstres pour crafter de puissantes armes.


Privilégier les Piafs et les Gorons en premier

Comme à son habitude, le jeu n’impose pas d’ordre dans l’avancement de l’histoire et vous pouvez explorer comme vous souhaitez, mais il vaut mieux privilégier les Piafs puis les Gorons pour leur pouvoir utiles.


Utiliser la longue-vue en l’air

Il est possible d’utiliser la longue-vue alors qu’on est en para-voile.
Même si le jeu continue, ça reste très utile pour vérifier ce qu’on voit en hauteur.


Les profondeurs sont en réalité un monde-inversé

Les profondeurs ne sont qu’un négatif du monde normal, les montagnes sont des abîmes, et les descentes des montées.
Seuls les sanctuaires sont au mêmes emplacements.
Il est possible d’afficher également une autre vue sur la mini-carte.
En sachant ça, il est plus simple d’optimiser ses trajets dans les profondeurs.


Les seuils de porte sont vos amis

Pour passer facilement aux étages supérieurs, il suffit d’utiliser « infiltration » au niveau des seuils de porte dans les donjons. Elles sont souvent alignées les uns sur les autres dans la conception des niveaux.


Sauter accroupi pour être discret

Pour approcher rapidement d’un ennemi, d’une fée ou d’un insecte en étant discret, il suffit de se mettre accroupi et d’incliner légèrement le joystick en avant puis d’appuyer sur X pour faire des sauts en avant.
Le jeu considère que vous ne faites pas de bruit en avançant comme ça.

Arrêtez avec les « votre avis nous intéresse » ! – Le Hollandais Volant

https://lehollandaisvolant.net/?d=2023/05/31/19/06/41-arretez-avec-les-votre-avis-nous-interesse


Ces formulaires peuvent avoir une réelle utilité dans une entreprise.

Traiter les retours clients ça demande beaucoup (beaucoup !) de temps (retracer les démarches, comprendre le problème, se mettre en lien avec d’autres services, etc.) !

Et c’est pour ça que les entreprises assez grosses ont un service dédié à ça justement.
Donc moins il y a de problème à régler et mieux c’est pour tout le monde.

Un client content c’est un client qui reste, un client mécontent c’est 10 clients qui partent.

Ces formulaires de retours peuvent permettre de savoir si la chaîne de traitement des problèmes est efficace, si les délais de traitement sont satisfaisants, si les solutions proposées sont bonnes, etc. Il y a moyen d’évaluer pas mal de choses dans l’ensemble mine de rien.

Souvent, les personnes sont mécontentes mais ne font pas remonter les informations dans les bons canaux et les problèmes ne sont pas réglés.
Une entreprise a donc tout intérêt à faire en sorte que vous soyez satisfaits et de savoir où sa chaîne de résolution de problème fait défaut.

C’est donc intéressant à l’entreprise de réellement prendre en compte ces retours surtout quand il y a des commentaires et de donner un retour au client surtout lors de mauvaise expérience pour montrer au client qu’on est à l’écoute et qu’on se donne les moyens d’arriver à un bon résultat.

Si ce n’est pas le cas, c’est que l’entreprise s’en fout et compte sur le volume pour rectifier la note.
Mais bon, c’est dommage dans ce cas d’avoir un formulaire de retour si ce n’est pas pour s’en servir correctement…

Mais je suis d’accord, certains services demandent des retours d’avis pour tout et n’importe quoi.
Il faut savoir doser et juger à quel moment il faut demander un retour.

Il faut aussi comprendre que ces formulaires permettent également d’évaluer indirectement les personnes qui ont traité avec vous.

En notant, vous notez également les personnes et leur prestations et donc leur travail. Certains ne se cachent pas, notamment les « Service Après Vente » et « Service Client » avec leur formulaire permettant de donner (ou non) une prime à la personne qui a fait son travail en lui mettant une note suite à un échange ou un appel.

Sachant cela, il y a un côté « culpabilisant » si on ne donne pas de bonnes notes.


Mais parfois ça peut aller très loin.

J’ai été dans un garage récemment, une expérience assez moyenne avec des concours de circonstance qui n’étaient pas à leur avantage.
J’ai donc mis une note moyenne de 7/10 puisqu’ils me demandaient un avis.

Je reçois quelques jours après un appel d’une personne en charge du retour client, me demandant pourquoi cette note (ce qui montre que les retours sont lus) et que je recevais cet appel parce que j’avais noté en-dessous de 8/10.
Et que, si je ne changeais pas cette note ils allaient m’appeler tous les jours jusqu’à ce que je change ladite note.

Ni une ni deux, je leur ai dit que c’était du harcèlement s’ils le faisaient et que je n’allais pas revenir sur ma décision que je trouvais juste.
J’ai donc bloqué le numéro, et mis une note de 5/10 en définitif à cause de cet appel complètement WTF et inapproprié.

Résultat, ils ont perdu un client, eu un mauvais retour, j’en fais de la mauvaise pub autour de moi, à cause de cet appel qui était de trop.

On ne force pas les gens à mettre une bonne note, on la mérite si les moyens sont mis en place pour l’avoir. Encore une fois, si les retours clients ne sont pas pris en compte comme il le faudrait, ce n’est pas au client d’en faire les frais.

Transformer son Smartphone en Switch (ou presque)

La Nintendo Switch, bien que relativement faiblarde niveau puissance, est, je trouve, une bonne console polyvalente qui permet aussi bien de jouer en mode console de salon pour du multijoueurs qu’en mode « Game Boy » (paie ta ref de vieux) pour jouer en mode portable tranquillement affalé où on veut.

Ça reste une tablette avec un écran pas forcément très grand, avec des manettes accrochées et détachables (sauf pour la version « lite »), ce qui permet de jouer avec de vraies boutons physiques.

  • 7 pouces (18cm) pour la version Oled
  • 6,2 pouces (16cm) pour la Switch (2019)
  • 5,5 pouces (14cm) pour la Switch Lite

La taille des écrans de smartphone actuels étant comprise entre 4,7 pouces (12cm) et 7 pouces (18cm), on est en plein dedans.

Nintendo ne voulant pas proposer un émulateur gratuit pour des vieux jeux en ayant une technique de vente assez discutable, et moi ayant une sainte horreur des jeux sur smartphones avec les touches virtuels sur l’écran, je me suis dit :

« Hé ! Vu que les Joycons de la Switch sont compatibles avec Android (voir : https://lokoyote.eu/jouer-sur-android-avec-les-joycons-manettes-de-la-switch/), pourquoi ne pas se servir du smartphone comme pseudo Switch ? »

Sachez que si vous avez une imprimante 3D, de nombreux modèles existent pour simplement créer les supports avec un système de fixation pour smartphone.

Si vous n’en avez pas, ce genre de support est trouvable sur le net sur différents sites avec des prix parfois abusés…

Spoiler alert : Ce n’est pas sur Amazon que vous trouverez votre bonheur pour ça.

Personnellement, j’ai pris un modèle qui permet de clipser les Joycons de part et d’autres du smartphone avec des pinces façon support smartphone de voiture.

Et possibilité de jouer aussi aux anciens jeux par émulateurs (au moins jusqu’à la PS2 avec la puissance de certains smartphones actuels), et sans aucun souci pour des vieilles consoles.

Je refais quelques jeux, notamment certains Zelda que je n’ai jamais fait et redécouvre les ««« joies »»» de la caméra fixe mais aussi des « roms hack » !

Pour les iPhones, apparemment les émulateurs sont interdits sur le store. Il faut passer pas un store alternatif qui propose les émulateurs.

Comment les jeux vidéo m’ont aidé dans mon boulot

Souvent montré du doigt par les parents envers les jeunes, à juste titre quelques fois, le jeu vidéo est un passe-temps chronophage qui peut nuire à la scolarité des plus jeunes si des cadres ne sont pas mis en place.

MAIIIIIIIIIS !

Outre les jeux de tir en première personne (i.e « FPS ») très mis en avant par les médias grand public pour leur violence, la palette de genres de jeux est assez énorme et ne cesse d’augmenter avec le développement des technologies (avant les jeux en 3D, il n’y avait que la 2D et donc forcément moins de « choix » dans les genres, qui sait quel genre de jeux on aura demain ?), allant du jeu de plateforme classique, au FPS en passant par le RPG (jeu de rôle), les jeux d’horreur ou encore les Hack’n slash (comprendre « foncer dans le tas ») etc.

Évidemment, les genres pouvant se recouper et avoir eux-mêmes d’innombrables sous-genres… La page Wikipédia est bien assez fournie pour ça : https://fr.wikipedia.org/wiki/Genre_de_jeu_vid%C3%A9o.

Bref, ce pavé d’introduction est un peu long.

Malgré certains défauts pointés, le nombre d’heures passées sur un jeu vidéo peut sembler parfois déraisonnable pour les non-joueurs, allant de quelques heures à quelques centaines d’heures de jeu (voire milliers si on cumule).

Autant d’heures que d’autres personnes passeront au bar, en vadrouille, au sport, à la lecture ou devant des séries.

Outre le fait de rester devant un écran, je considère le jeu vidéo comme un support qui permet de vivre pleinement quelque chose.
Je fais cette petite liste pour expliquer :

  1. La vie réelle : reste évidemment le meilleur moyen de découvrir des choses par soi-même mais sont limitées par nos possibles et nos capacités réelles.
  2. Le rêve : bien que personnel et sans limite, le rêve pousse les émotions à leur maximum et il est possible d’expérimenter bien plus de choses que dans la vraie vie dans des situations qui n’arriveront sans doute jamais en vrai.
  3. Le livre : Bien que « spectateur », chaque livre est unique dans la tête de celui qui le lit car sa vision du monde qu’il découvre est dans sa propre tête et la représentation est limitée par ses propres connaissances. Le lecteur et vit au travers de personnage qu’il incarne en essayant de comprendre les émotions écrites par l’auteur.
  4. Le jeu vidéo : bien que spectateur, le joueur est également acteur et vit le jeu au travers d’une projection qu’il fait de lui-même sur un avatar virtuel au travers d’expériences très diverses ne nécessitant pas forcément de mots pour transmettre des émotions. Depuis peu, la narration est plus ou moins linéaire et peut être choisie par le joueur en fonction de ses choix dans certains genres.
    Il est difficile de faire une généralité sur ce point tant les genres sont différents et ne permettent absolument pas les mêmes choses entre eux.
  5. Les films : spectateur devant des scènes où des acteurs tentent de transmettre des émotions fortes, les scènes et le rythme sont imposés. Le choix des musiques, de la lumière, du rythme etc. sont d’autant de choses qui vont impacter le spectateur, l’image ne fait évidemment pas tout.

Avec ses nombreuse heures de jeu, le joueur apprend dans un univers où les règles sont codées afin de vivre l’aventure proposée.

Le fait de pouvoir créer son personnage comme on le veut dans les RPG par exemple, permet d’apporter un lien supplémentaire entre le joueur et le personnage.
Dans les jeux à choix, il est possible que vous choisissiez naturellement des solutions qui se rapportent le plus à vos convictions réelles, vous transposez votre « vous » sur votre avatar.

Il y a de nombreux articles traitant du sujet de l’attachement aux personnages vidéoludiques et des avatars si le sujet vous intéresse, c’est très passionnant !

Personnellement j’affectionne énormément les jeux très scénarisés avec une histoire bien écrite et surprenante, dans un univers que l’on découvre via de nombreux détails apportant une profondeur très réaliste à cet univers.

J’aime aussi les jeux où on est bousculé émotionnellement, en bien ou en mal, qui marquent assez fortement le joueur (par exemple, le jeu « Hellblade Senua’s sacrifice » est un jeu tout en métaphore qui fout une sacrée claque une fois fini au moment où on comprend l’ensemble !).

Enfin, j’adore les jeux de réflexion où il faut savoir penser différemment (« outside the box » comme on dit dans le milieu), je pense notamment à la série Portal (surtout les mods ou les salles inventées par la communauté pour pousser les limites du jeu) , Antichamber, The Talos Principle, The Entropy Centre, Oneshot etc.

Le large choix des genres vidéo permettent de tester une multitude de choses et les très nombreuses heures passées dessus peuvent servir.

Comme les romans qui permettent de développer de nombreuses compétences (apprendre du vocabulaire et de la grammaire, l’empathie, l’imagination, la culture, la concentration, la sensibilisation à l’art du dessin ou encore l’écriture [liste non exhaustive]), le jeu vidéo n’est pas avare sur ce qu’il peut apporter :

  • Gestion de temps
  • Gestion de ressources (humaines ou matériels)
  • Gestion de stress
  • Réactivité / Réflexes
  • Esprit d’équipe
  • Concentration
  • Mémoire
  • Persévérance
  • Stratégie
  • Créativité
  • Logique et Esprit d’analyse
  • Motivation
  • Adaptation
  • Communication
  • Débrouillardise
  • Coordination
  • Apprentissage rapide
  • Meilleure vue
  • Apprentissage d’autres langues
  • Curiosité
  • Apprentissage de compétences techniques (plus sur la partie informatique qui gravite autour comme le montage de PC et de gestion de serveurs de jeux que le jeu en lui-même)

Et d’autres sûrement !

En préparant cet article je suis tombé sur cette vidéo TEDx assez sympa, pas longue et très accessible :

Conférence TEDx traitant du parallèle entre jeux vidéo et compétences de travail.

Pour ma part, la résolution de problème, la réactivité, la débrouillardise, l’esprit d’analyse, la gestion de ressources et de temps et la créativité ont été impactés par les jeux vidéos.

Je ne dis pas que j’ai acquis ces compétences uniquement par le jeu vidéo.
Les activités sportives et les arts (dessin, musique, sculpture etc.) demandent et exigent également beaucoup de compétences acquises dont une partie provient aussi de ce côté, mais je pense sincèrement qu’au nombre d’heures/jours/mois (entourer la bonne réponse) passés à jouer, les jeux vidéos ont forcément eu un impact sur ma manière d’être et de penser.

Toute activité a et aura un impact sur notre vie, il suffit de savoir identifier cet impact et d’en faire une compétence passive pour la mettre en avant, ou ne pas vouloir le faire mais prendre conscience de ce qu’on en a pu en tirer et ne pas forcément culpabiliser de jouer parce que ça reste tout de même un loisir !