Firefox snap version : corriger le curseur de souris

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J’ai remarqué un petit souci dans ma version de Firefox, le thème du pointeur de la souris n’était pas le même que celui par défaut sur ma session mais celui de base assez petit.

J’utilise le thème Breeze-snow que je trouve sympa et dont le curseur est un peu plus gros que la moyenne pour le trouver facilement.

Apparemment, c’est un problème récurrent avec certaines applications en « snap » : https://askubuntu.com/questions/1430107/tiny-cursor-in-firefox-snap

Après avoir essayé quasiment toutes les options trouvables sans succès et vérifié que les connections snap étaient bien liées au thème de base :

snap connections firefox
sudo snap connect firefox:icon-themes gtk-common-themes:icon-themes

je me suis tout simplement résigné à installé le thème du pointeur non pas manuellement comme je l’avais fait dans le dossier « .icons » mais par le paquet disponible

sudo apt-get install -y breeze-cursor-theme

Puis, je suis passé par Tweak Manager (si besoin de l’installer : https://linuxconfig.org/how-to-install-tweak-tool-on-ubuntu-22-04-lts-jammy-jellyfish-linux) et tadam ! Plus besoin de bouger le curseur de partout pour essayer de le trouver !


Bon, au final je suis repassé à la version de base en supprimant cette version snap de Firefox (lien en commentaire) et j’en ai profité pour installer le thème de curseur Breeze-contrast

AtlasOS – Le Windows 10 optimisé pour la virtualisation

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https://korben.info/windows-10-atlas.html


Tournant encore et toujours sous Ubuntu, il m’arrive parfois d’être malheureusement bloqué à cause de formats de fichier propriétaires nécessitants certains logiciels bien spécifiques disponibles uniquement sous Windows.

Ne voulant pas faire de « Dual Boot » avec 2 partitions (Linux et Windows sur le même disque dur mais séparé, ndlr), j’ai choisi de virtualiser Windows dans Linux via un logiciel de virtualisation (j’ai testé GNOME Machines mais pour Windows les performances étaient moyennes, je suis resté sous VirtualBox pour de meilleurs performances – Lien plus bas pour l’installation facile).

Je cherchais donc une version de Windows très légère pour la virtualisation.

Après essai, cet AtlasOS convient parfaitement !
(Environ 5 sec grand max pour arriver au bureau depuis le lancement en virtualisation. J’ai testé la version 20H2).


Il est possible de changer la langue du système malgré ce qui est indiqué dans le post de Korben. Pour ce faire, il faut changer la valeur d’une clé du registre de Windows :

  • Appuyer sur la touche Windows + r
  • Taper « regedit » sans les guillemets et valider
  • Aller dans HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Policies\Microsoft\Windows\WindowsUpdate
  • Changer la valeur de « DoNotConnectToWindowsUpdateInternetLocations »
    (double-cliquer sur la clé de registre et changer la valeur de « Value data » à 0)
  • Enfin, dans les paramètres Windows, chercher « Language settings »
  • Sous « Preferred languages » cliquer sur le [+], choisir la langue voulue et cocher la case « Set as my Windows display language »
  • Redémarrer Windows

(Solution trouvée dans le Github d’AtlasOS – Apparemment ce sera implémenté d’office dans les prochaines versions).


Pour installer VirtualBox tel qu’empaqueté par l’équipe d’Ubuntu, installez les paquets virtualbox virtualbox-qt virtualbox-dkms virtualbox-guest-additions-iso virtualbox-guest-utils

(Ligne de code d’après le wiki Ubuntu)

LeHollandaisVolant – Is Donald Trump to Blame for Ohio Train Derailment?

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https://lehollandaisvolant.net/?mode=links&id=20230219093119

Autant certains problèmes peuvent s’imaginer et on peut mettre en place des solutions préalables (un seau d’eau à côté d’un feu de camp par exemple), pour d’autres, beaucoup d’autres, les accidents arrivent sans qu’on ait su que ça pouvait arriver (loi de Murphy, bonjour !).
Oui, il faut un accident pour mettre en place des sécurités.

Tout à fait d’accord, c’est malheureux mais tant qu’un problème n’est pas arrivé souvent rien n’est fait.

Même si on met en place des moyens de préventions, on n’imagine pas tous les cas possibles, mais on essaie.

Dans beaucoup de secteurs où les dangers ne sont pas forcément visibles car pas directs pour le consommateur/client, c’est souvent la sécurité des employés qui est sous-estimée.

Il y a une phrase que j’aime beaucoup sortir en QHSE (Qualité Hygiène Sécurité Environnement) : Quand il y a un problème, la question n’est pas de savoir SI il va y avoir un accident, mais QUAND il va arriver »

De quoi ces nouvelles « IA » sont vraiment capables ?

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Si vous n’êtes pas très ancrés dans la culture geek, sachez que depuis quelques temps, de nouvelles « IA » ont été rendues publiques pour créer des choses qui peuvent sembler assez magique aux premiers abords et même, presque « intelligentes ».

Avant de s’enflammer et de voir l’arrivée d’intelligences aussi poussées que certaines d’entre vous, il est intéressant de comprendre COMMENT ces algorithmes fonctionnent, et ce, pour 2 raisons :

Déjà, pour apprendre quelque chose… Et la 2e pour ne pas se faire entuber par ce qu’on lit ou entend.

Les 2 « IA » qui font parlées d’elles sont ChatGPT, l’IA d’Elon Musk, et les « IA » de créations d’images.

N’étant absolument pas du domaine, j’ai trouvé 2 vidéos très intéressantes de très bons vulgarisateurs pour l’expliquer de manière moins lourde qu’une tonne de texte écrit ici :D

(Regardez-les dans l’ordre pour mieux comprendre)

Fonctionnement de ChatGPT et pourquoi il faut prendre des pincettes
Comment les IA inventent des images

Dans ce vaste monde des « IA », une autre s’est fait particulièrement remarquée pour avoir réussi à « comprendre » une chose assez simple mais tellement complexe en science du vivant : le repliement des protéines.

Je me souviens de mes cours de biochimie où on m’avait appris qu’on n’arrivait pas à comprendre les mécanismes sous-jacents pour prédire de manière fiable la structure finale des protéines et que c’était un problème majeur en Biochimie.

Un sujet très intéressant mais très complexe, car, ce qu’il faut comprendre, c’est que pour le moment, voir des protéines en 3D (comment elles sont en vrai) est extrêmement difficile car l’environnement dans lequel elles sont influe beaucoup sur leur forme et il faut des techniques de purification extrême et des techniques de pointe longues, coûteuses et assez hasardeuses quant à leur succès malgré les efforts mis en œuvre (parfois ça marche et parfois pas du tout).

Un petit lien Wiki pour les très motivés : https://fr.wikipedia.org/wiki/Structure_des_prot%C3%A9ines !

Il s’agit de l’IA DeepMind (racheté par Google) qui a réussi cet exploit.
Cette super « IA » hyper-polyvalente capable de s’adapter à tout grâce au jeu (voir le podcast de France culture qui retrace les débuts de DeepMind, son rachat et pourquoi ce genre d’outils permet de montrer que la Recherche Académique (publique) peut très bien fonctionner conjointement avec de la Recherche Privée (entreprise)).

De manière plus récente, Google a également sorti son « IA » concurrente à ChatGPT appelée Sparrow qui fonctionne encore un peu différemment et repose sur DeepMind.
Elle permettrait d’être plus précise sur ce qu’elle énonce et éviterait les biais de ChatGPT (voir la 1e vidéo).
Comme elle est encore en accès fermé, on ne peut que faire confiance aux billets qui en parlent pour le moment (voir : https://www.deepmind.com/blog/building-safer-dialogue-agents ou ici : https://www.blogdumoderateur.com/sparrow-reponse-google-chatgpt)

Merci ChatGPT, je me coucherai moins bête !

Livre à découvrir : Le monde sans fin, miracle énergétique et dérive climatique

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Une magnifique BD de vulgarisation de 200 pages sur l’énergie (au sens propre, pas d’ésotérisme).

Qu’est-ce que l’énergie, ce concept un peu abstrait mais dont tout le monde semble parler facilement ? Que se cache-t-il derrière ? Peut-on vraiment consommer de l’énergie ?

Quel a été son développement depuis sa découverte ? Pourquoi il n’y a pas d’énergie verte ? L’énergie peut elle être renouvelable ? Quelles ont été les conséquences sur nos vies de sa découverte et de son utilisation ?

Combien faut-il d’humains pour remplacer l’énergie dégagée par 1L d’essence ? Quelle énergie un humain est-il capable de produire ?

Quels impacts avons-nous pour limiter sa consommation ? Qu’implique une baisse de l’énergie au niveau global et sur nos habitudes ? Quel lien étroit y a-t-il entre le système économique et l’énergie ?

De la très bonne vulgarisation qui fait réfléchir avec de l’humour et pas mal d’analogie pour bien comprendre, un livre à mettre entre toutes les mains sans hésiter !