La proposition de loi portée par Catherine Coutelle concernant l’extension du délit d’entrave à l’IVG aux plateformes numériques a été adopté ce jeudi par l’Assemblée Nationale en première lecture.
Je cite encore :
Enfin, malgré ses techniques d’optimisation, IVG.net ne parvient pas à réunir la même audience que le site gouvernemental. Selon nos observations sur SimilarWeb, le site anti-IVG reçoit moins de 30 000 visites par mois, contre 58 000 sur les pages du ministère. La force de frappe du site est donc à relativiser.
Je trouve ça scandaleux ! Cette technique existe et elle est utilisée pour avoir le choix ! Si ces anti-IVG ne sont pas d’accords, ils n’ont qu’à faire un site anti-IVG.net et on verra à ce moment combien de visite ils auront… C’est pathétique.
Internet est un magnifique outils d’informations qui doit rester clair et objectif ! Surtout pour l’accès à des sites dits d’informations !
Et je suis bien d’accord avec cette réponse :
La ministre aux droits des femmes, Mme Rossignol, a rétorqué sur cette attaque en martelant que « la liberté d’opinion n’est pas le droit au mensonge sur des plateformes d’apparence neutre et objective qui cherchent à culpabiliser les femmes et les décourager d’avoir recours à l’avortement. »
Alors certes, c’est contre la liberté d’expression de ces Anti-IVG, mais dans ce cas précis, il y a clairement tromperie et la question ne se pose pas.