Facebook : se connecter à plusieurs comptes sur son application

Attention, cet article date de 3 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Il peut arriver, pour diverses raisons, de vouloir ajouter plusieurs comptes sur son application pour partitionner ses besoins, comme par exemple avoir un compte perso et un autre un peu plus pro pour certains groupes et ne pas tout avoir sur un compte.

Sur beaucoup de sites, la méthode la plus couramment citée passe par l’utilisation d’une application de clonage comme « Parallel Space », ou encore d’installer « Facebook Lite » ou d’utiliser des outils de jumelage disponible installé de base (ou non) sur votre smartphone.

Le but de ces manipulations est de se connecter avec 2 comptes différents sur 2 applications différentes.

Il existe cependant une astuce sans devoir installer d’applications autre que celle de Facebook.

(Étant sous Android, je donne la méthode pour l’application Android, mais ça doit être la même chose sous iOS).

Cette technique permet d’ajouter au moins 2 comptes simplement de la manière suivante :

  1. Sur votre application, aller dans l’onglet Menu
  2. Descendez tout en bas et choisir « Déconnexion » (oui il va falloir se déconnecter dans un premier temps)
  3. Choisir ensuite « Se connecter à un autre compte »
  4. Entrer l’identifiant et le mot de passe du 2e compte auquel on veut avoir un raccourci
  5. Sur ce 2e compte, aller sur l’onglet Menu ≡
  6. Appuyer sur la miniature de votre 1er compte à droite du nom de votre 2e compte
  7. (Si rien ne s’affiche, ça peut être un bug graphique de l’application, appuyez tout de même à l’endroit indiqué sur la photo où devrait se trouver le raccourci)
  8. Connectez-vous à votre 1er compte
Raccourci entre les 2 comptes

Et voilà ! Changez de compte à tout moment par la suite avec ce raccourci !

Simple et efficace !

Mon jeu du moment (02/22)

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Exception à la règle, ce ne sera qu’un jeu présenté, manque de temps pour jouer oblige.

Ce jeu n’est pas tout récent, mais ça fait un moment qu’il traînait dans ma bibliothèque (depuis sa version beta en fait…) et j’ai préféré le faire sur Nintendo Switch.

Comme toujours, ce n’est pas sponsorisé, ce n’est que mon avis.


Hades

Une autre pépite de l’excellent studio qu’est SUPERGIANT (Transistor, Bastion et Pyre). Celles et ceux qui me lisent régulièrement connaissent mon amour pour ce studio et ses jeux que je ne peux que recommander les yeux fermés !

Un format un poil différent pour ce jeu qui est un Hack&Slash, un peu déroutant mais qui reprend, selon moi, le meilleur de ses 3 autres jeux pour en faire un combo parfait !

Une prise en main simple et bien pensée, nerveuse, aucun bug, très beau graphiquement parlant avec cette vue isométrique propre au studio, une narration digne d’un roman et comme toujours d’excellentes musiques qui donnent le rythme !

Récemment, le jeu a remporté le prix Hugo, un prix littéraire généralement réservé aux romans : https://www.ign.com/articles/hades-makes-history-as-the-first-video-game-to-win-a-hugo-award

Et je dois dire, que le prix est amplement mérité !

Moi qui trouvait déjà que leur jeu « Pyre » était un excellent pavé de dialogue avec un rythme bien à lui dont vos choix vont faire différer la narration, Hades remonte encore le niveau d’un cran et se permet de très très nombreux dialogues et échanges entre les personnages qui se déclencheront en fonction de votre historique et des situations.

Chaque personnage est travaillé avec détails, sur leur histoire et leur rapport les uns aux autres.

Moi qui d’habitude ne suis pas très jeu de ce style, j’ai appris à aimer le « Die & Retry » (littéralement, « Mort et recommence ») où la progression ne peut se faire qu’avec la mort du personnage.

Une histoire en fond de mythologie grecque, vous incarnez Zagreus, qui tente désespérément de s’échapper des enfers et de l’emprise de son père, le grand Hades.

Un scénario que je ne divulguerais pas tant les rebondissements méritent d’être découverts par le jeu, mais sachez qu’il ne sera pas aisé d’atteindre la surface et que le jeu ne dévoilera son cœur seulement lorsque la sortie sera atteinte pour la première fois.

Aucune frustration dans la mort et dans le recommencement tant il y a de choses à découvrir.

Aucune frustration non plus dans la difficulté qui peut s’accroître progressivement dès la première échappée, de quoi pousser plus loin les surprises à découvrir !

Chaque « rush » dure environ 30min pour arriver à la fin, si tout se passe bien !

Un jeu qui sait se dévoiler dans la longueur où chaque rencontre vous donne envie de toujours avancer.

Maintenant que le jeu a bientôt 2 ans, il est souvent en promo, et très sincèrement, si vous ne l’avez pas essayé, je vous le conseille.

Enseignement des sciences : trouver la bonne formule – France Culture

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https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/enseignement-des-sciences-trouver-la-bonne-formule

Un podcast très intéressant sur notre rapport aux sciences et un petit débat sur le pourquoi, nous Français, sommes globalement à chier en sciences et comment on peut rendre les sciences plus sympas avec quelques pistes de réflexion.

En en discutant, on m’a également dit qu’en France on a une typicité culturelle bien à nous : on se moque très facilement.

Et qu’en tant que gros beaufs de service qui pensent être mieux que les autres en les pointant du doigt mais sans en faire plus avec notre grande gueule, on a tendance à se moquer des gens avec de la connaissance plutôt que de s’avouer à soi-même qu’on n’a pas assez de connaissance et qu’on ne connaît rien ou qu’on ferait pas mieux (parce qu’on ne peut pas tout connaître, et que ce n’est pas honteux, mais qu’en ne faisant pas d’effort dans ce sens c’est sûr que ça ne risque pas d’aller en s’arrangeant ! Y a qu’à voir quelqu’un essayer de parler anglais en galérant mais en faisant l’effort, et admirer la réaction des autres autour qui ne savent pas faire mieux).

Voir également : https://lokoyote.eu/quand-la-connaissance-est-vue-comme-du-mepris/

Ubuntu : Installation de NordVPN avec interface

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Un petit article « Tuto » après avoir un peu ramé pour installer l’application pour l’ensemble du système et non simplement sur Firefox (qui n’a besoin que de ce plugin).

I – Installer le client NordVPN : https://support.nordvpn.com/fr/FAQ/Tutoriels-de-configuration/1569821472/Installation-et-utilisation-de-NordVPN-sur-Linux.htm
Voilà ! Vous pouvez dès à présent vous connecter en ligne de commande, mais bon, ce n’est pas hyper convivial…

II – Installer une application avec interface graphique (GUI) : https://github.com/GoBig87/NordVpnLinuxGUI
Plus simple pour switcher entre les serveurs et avoir un visuel sur l’état du VPN.
Télécharger le zip (Bouton « Code » > « Download ZIP »), décompresser le zip, ouvrir le fichier « installer.sh » dans un terminal (faire un clique-droit dans la fenêtre > Ouvrir dans un terminal et taper la ligne suivante pour lancer le fichier d’installation.

./installer.sh

Enfin, chercher dans votre liste d’application « NordVPN ».

Interface graphique NordVpnLinuxGUI

Il est possible qu’il faille redémarrer le PC pour que le logiciel fonctionne.

III – Installer NordIndicator : https://github.com/dvilelaf/NordIndicator
Un petit indicateur visuel pour savoir si on est connecté au VPN ou non et surtout dans quel serveur.

Interface NordIndicator

Télécharger le fichier zip de la même manière que NordVpnLinuxGUI puis lancer le fichier « NordIndicator.py » qui devrait se lancer comme un fichier exécutable.
Si ce n’est pas le cas, faire un clique-droit dans le dossier, ouvrir un terminal et taper :

python3 NordIndicator.py install

Normalement, tout devrait à présent fonctionner.

Linux : outil de compression de PDF

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Découvert un peu par hasard ce magnifique outil pour compresser les PDF à la volée facilement, très utile quand vous devez envoyer des dossiers à des correspondants qui sont limités en taille de boîte mail ou qui ne peuvent pas ouvrir des fichiers hébergés !

(Coucou les banques et les services administratifs français !)

Découvert sur le site ITSFOSS.com (littéralement « C’est libre et open source », petite pépite du logiciel libre, mais pas que).

Son petit nom : PDF Compressor (pourquoi faire compliqué parfois).

Téléchargeable en format Appimage ici : https://github.com/itsfoss/compress-pdf/releases/download/0.1/compress-pdf-v0.1-x86_64.AppImage

Une fois téléchargé, il suffit de faire en sorte que le fichier soit ouvert comme un programme (clique-droit dessus > Propriétés > Permissions > cocher « Autoriser l’exécution du fichier comme un programme »).

Ou en ligne de commande avec chmod.

chmod +x nom_fichier.AppImage

Le logiciel se présente de manière simple :

Interface du logiciel

Vous sélectionnez votre PDF et choisissez le taux de compression (Faible, Moyen ou Élevé) puis cliquez sur « Compress ».
Un fichier compressé sera ensuite créé. Votre PDF original ne sera pas modifié.
Plus la compression est élevée et plus la qualité des images (qui prend le plus de place) sera dégradée pour optimiser leur taille.
À vous d’essayer et d’ouvrir ensuite le fichier généré pour voir si la compression est suffisante par rapport à la taille.

Si rien ne vous convient, essayez de diviser votre PDF en 2 et de recommencer !