Mon jeu du moment – Juin 2023

Cette fois, pas d’originalité, mon jeu du moment est :

The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom

Image de présentation du jeu

Bon, le nombre de critique sur internet sur ce jeu est énorme, je vais donc en profiter pour partager plutôt un documentaire sur ces nouveaux Zelda que j’ai trouvé très intéressant !

Une petite vidéo expliquant le concept derrière les nouveaux Zelda

Tout comme son prédécesseur (Breath of the Wild), on retrouve un gameplay original, une musique géniale, de très nombreux clin-d’œil en tous genres aux autres Zelda.

De mon point de vue, il est meilleur que Breath of the Wild auquel il manquait de profondeur.

L’ajout de nombreux détails « fan-service » qui ravissent les fans dans mon genre sans devoir passer par des « amiibo » est un vrai plus sympa.

Mais il n’est pas exempt de défauts dont notamment devoir appuyer sur un bouton pour courir (même si la course devient anecdotique dans ce jeu), des pouvoirs assez laborieux à utiliser par rapport à son prédécesseur, une complexité sur les touches avec beaucoup de choses à faire, etc.

Mais il est aussi bien plus intéressant, plus dur, plus intelligent et a toujours cette patte graphique que je trouve magnifique.

Comme le mentionne le jeu au départ « la seule limite est votre imagination », tant sur les constructions possible (appelé « Crafting ») ou pour la résolution de solution ou la manière de vaincre des ennemis, ce jeu offre une possibilité énorme et ne cantonne pas le joueur à un unique choix.

Arrêtez avec les « votre avis nous intéresse » ! – Le Hollandais Volant

https://lehollandaisvolant.net/?d=2023/05/31/19/06/41-arretez-avec-les-votre-avis-nous-interesse


Ces formulaires peuvent avoir une réelle utilité dans une entreprise.

Traiter les retours clients ça demande beaucoup (beaucoup !) de temps (retracer les démarches, comprendre le problème, se mettre en lien avec d’autres services, etc.) !

Et c’est pour ça que les entreprises assez grosses ont un service dédié à ça justement.
Donc moins il y a de problème à régler et mieux c’est pour tout le monde.

Un client content c’est un client qui reste, un client mécontent c’est 10 clients qui partent.

Ces formulaires de retours peuvent permettre de savoir si la chaîne de traitement des problèmes est efficace, si les délais de traitement sont satisfaisants, si les solutions proposées sont bonnes, etc. Il y a moyen d’évaluer pas mal de choses dans l’ensemble mine de rien.

Souvent, les personnes sont mécontentes mais ne font pas remonter les informations dans les bons canaux et les problèmes ne sont pas réglés.
Une entreprise a donc tout intérêt à faire en sorte que vous soyez satisfaits et de savoir où sa chaîne de résolution de problème fait défaut.

C’est donc intéressant à l’entreprise de réellement prendre en compte ces retours surtout quand il y a des commentaires et de donner un retour au client surtout lors de mauvaise expérience pour montrer au client qu’on est à l’écoute et qu’on se donne les moyens d’arriver à un bon résultat.

Si ce n’est pas le cas, c’est que l’entreprise s’en fout et compte sur le volume pour rectifier la note.
Mais bon, c’est dommage dans ce cas d’avoir un formulaire de retour si ce n’est pas pour s’en servir correctement…

Mais je suis d’accord, certains services demandent des retours d’avis pour tout et n’importe quoi.
Il faut savoir doser et juger à quel moment il faut demander un retour.

Il faut aussi comprendre que ces formulaires permettent également d’évaluer indirectement les personnes qui ont traité avec vous.

En notant, vous notez également les personnes et leur prestations et donc leur travail. Certains ne se cachent pas, notamment les « Service Après Vente » et « Service Client » avec leur formulaire permettant de donner (ou non) une prime à la personne qui a fait son travail en lui mettant une note suite à un échange ou un appel.

Sachant cela, il y a un côté « culpabilisant » si on ne donne pas de bonnes notes.


Mais parfois ça peut aller très loin.

J’ai été dans un garage récemment, une expérience assez moyenne avec des concours de circonstance qui n’étaient pas à leur avantage.
J’ai donc mis une note moyenne de 7/10 puisqu’ils me demandaient un avis.

Je reçois quelques jours après un appel d’une personne en charge du retour client, me demandant pourquoi cette note (ce qui montre que les retours sont lus) et que je recevais cet appel parce que j’avais noté en-dessous de 8/10.
Et que, si je ne changeais pas cette note ils allaient m’appeler tous les jours jusqu’à ce que je change ladite note.

Ni une ni deux, je leur ai dit que c’était du harcèlement s’ils le faisaient et que je n’allais pas revenir sur ma décision que je trouvais juste.
J’ai donc bloqué le numéro, et mis une note de 5/10 en définitif à cause de cet appel complètement WTF et inapproprié.

Résultat, ils ont perdu un client, eu un mauvais retour, j’en fais de la mauvaise pub autour de moi, à cause de cet appel qui était de trop.

On ne force pas les gens à mettre une bonne note, on la mérite si les moyens sont mis en place pour l’avoir. Encore une fois, si les retours clients ne sont pas pris en compte comme il le faudrait, ce n’est pas au client d’en faire les frais.

Comment lire les « Valeurs nutritionnelles » d’un aliment, ce qu’il se cache derrière et pourquoi ce n’est pas remplaçable

Obligatoires sur les produits transformés, les informations nutritionnelles permettent de refléter la qualité de l’aliment.

Ce n’est pas une liste d’ingrédients et ne la remplace pas, mais la complète d’une certaine manière.

La liste d’ingrédients est également obligatoire et indique par ordre d’importance décroissante les ingrédients (de celui qu’on retrouve le plus à celui le moins présent dans la préparation, en indiquant par des valeurs en pourcentage ceux présents sur le visuel ou indiqués sur l’emballage) avec la mise en évidence des produits allergènes.
Cette liste peut être très utile pour comparer 2 produits qui se ressemblent : si le premier produit contient des fruits en 1er ingrédient et l’autre du sucre, vous saurez que le 1er est meilleur.

Pour aller plus loin :
https://www.economie.gouv.fr/particuliers/denrees-alimentaires-regles-etiquetage

Les valeurs nutritionnelles, quant à elles, servent à renseigner le consommateur sur la composition qualitative de l’aliment.

Le format type obligatoire est celui-ci :

Tableau type obligatoire à renseigner par le fabricant
Source de l’image

Il est rare que d’autres éléments figurent dessus.
Ça peut être le cas dans certains produits où on justifie certaines allégations nutritionnelles comme « riche en fer », « contribue à un métabolisme normal », etc. en indiquant certains minéraux ou vitamines en plus (mais qui n’en font pas forcément de bons produits pour la santé dans leur ensemble).

De premier abord, il peut faire peur et soyons francs, il n’est pas très sexy et mériterait un meilleur visuel.
Mais il est en réalité assez simple à lire et fournit beaucoup d’informations importantes quand on comprend ce qu’il y a derrière.
Il y a, selon moi, un manque d’informations sur ce genre de choses, ce n’est pas parce que c’est marqué que tout le monde est censé savoir ce que c’est.
Oui, l’information est trouvable sur le Net, mais pas toujours de manière simple.

C’est un tableau neutre et obligatoire, il permet de se détacher du packaging très tape-à-l’œil (avec de belles couleurs et images suggérant des vertus bien-être ou autre) et du fameux Nurti-Score (voir plus loin).

Il est parfois complété avec des %AQR, ANC, AJR etc.
Ces acronymes sont des « normes » qui indiquent comment cet aliment couvre les besoins sur les nutriments indiqués pour une personne avec un besoin énergétique de 2000 kcal.

Bien souvent, sur les sites que j’ai pu lire, les informations ne sont pas très claires et les explications en Nutrition… presque inexistantes.
Je vais essayer, sans trop rentrer dans le détail, de vous expliquer (et en mettant des liens pour ceux qui souhaitent creuser) ce qui se cache vraiment derrière ces noms et nombres.
On appellera « aliment brut » les aliments dans leur état originel (un fruit récolté, par exemple) pour éviter l’appellation « naturel » qui porte souvent à confusion.

La nutrition n’est pas une science exacte, elle s’actualise en fonction des connaissances, mais il faut tout de même constater que le plus gros problème lié à l’alimentation (de nos jours en France) reste la sur-alimentation et la sédentarité.
Parfois, on ne connaît pas encore les mécanismes sous-jacents à certaines pratiques alimentaires malgré qu’on voit qu’il peut y avoir des relations (corrélation n’est pas causalité, tant qu’on n’arrive pas à montrer le lien direct, on le suppose).

D’autres facteurs à plus larges échelles ont également un impact, comme le fait d’avoir eu des grands-parents ayant connu une période de disette (facteur épigénétique), avoir été allaité bébé (facteur microbien et microbiote), avoir eu une bonne alimentation durant les premières années de vie, l’impact sociétal des grandes distributions dans le choix des produits présentés en rayon et leur impact sur le marché local, de nombreux facteurs socio-économiques (comme le prix du produit et le budget alloué) etc.

Enfin, n’oublions pas que le choix dans la nourriture est un luxe et que de nombreuses personnes n’ont pas accès à suffisamment de nourriture dans le monde actuellement, là où d’autres sur-consomment et que, paradoxalement, les aliments les plus énergétiques, sont les moins chers (junk-food) mais aussi les moins sains.

Cet article étant assez long et dense, la suite est visible par le lien ci-dessous pour ne pas gêner le déroulement du reste de la page pour les personnes non intéressées.

(suite…)

Transformer son Smartphone en Switch (ou presque)

La Nintendo Switch, bien que relativement faiblarde niveau puissance, est, je trouve, une bonne console polyvalente qui permet aussi bien de jouer en mode console de salon pour du multijoueurs qu’en mode « Game Boy » (paie ta ref de vieux) pour jouer en mode portable tranquillement affalé où on veut.

Ça reste une tablette avec un écran pas forcément très grand, avec des manettes accrochées et détachables (sauf pour la version « lite »), ce qui permet de jouer avec de vraies boutons physiques.

  • 7 pouces (18cm) pour la version Oled
  • 6,2 pouces (16cm) pour la Switch (2019)
  • 5,5 pouces (14cm) pour la Switch Lite

La taille des écrans de smartphone actuels étant comprise entre 4,7 pouces (12cm) et 7 pouces (18cm), on est en plein dedans.

Nintendo ne voulant pas proposer un émulateur gratuit pour des vieux jeux en ayant une technique de vente assez discutable, et moi ayant une sainte horreur des jeux sur smartphones avec les touches virtuels sur l’écran, je me suis dit :

« Hé ! Vu que les Joycons de la Switch sont compatibles avec Android (voir : https://lokoyote.eu/jouer-sur-android-avec-les-joycons-manettes-de-la-switch/), pourquoi ne pas se servir du smartphone comme pseudo Switch ? »

Sachez que si vous avez une imprimante 3D, de nombreux modèles existent pour simplement créer les supports avec un système de fixation pour smartphone.

Si vous n’en avez pas, ce genre de support est trouvable sur le net sur différents sites avec des prix parfois abusés…

Spoiler alert : Ce n’est pas sur Amazon que vous trouverez votre bonheur pour ça.

Personnellement, j’ai pris un modèle qui permet de clipser les Joycons de part et d’autres du smartphone avec des pinces façon support smartphone de voiture.

Et possibilité de jouer aussi aux anciens jeux par émulateurs (au moins jusqu’à la PS2 avec la puissance de certains smartphones actuels), et sans aucun souci pour des vieilles consoles.

Je refais quelques jeux, notamment certains Zelda que je n’ai jamais fait et redécouvre les ««« joies »»» de la caméra fixe mais aussi des « roms hack » !

Pour les iPhones, apparemment les émulateurs sont interdits sur le store. Il faut passer pas un store alternatif qui propose les émulateurs.

Youtube – 100 personnes testent une méthode d’INTELLIGENCE COLLECTIVE – Fouloscopie

Attention, cet article date de 1 an, les informations peuvent ne plus être à jour...

Petite chaîne que j’apprécie pour son contenu de qualité.

Cette vidéo (assez fun au passage) permet de mieux comprendre les influences et le phénomène « d’intelligence collective », où, globalement, une majorité est capable de trouver une bonne réponse.

Dans la vidéo, il est aussi expliqué les biais possible d’influence et comment, malgré l’effet d’intelligence collective, il est possible de diriger des résultats vers ce qu’on veut.

C’est assez intéressant car en recherche, de nombreux biais cognitifs peuvent être présents lors d’études et peuvent par conséquent influencer les participants.
Il arrive donc que les personnes qui mènent l’étude (notamment en psychologie) vous fassent croire que l’étude à laquelle vous participez sera pour une chose, alors qu’en réalité ils regarderont autre chose pour éviter que vous soyez préparés et que vous ne faussiez les résultats.

Connaître certains biais de pensée est important car ils font partie de la vie courante et nous y sommes sans arrêt confrontés.