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Quand les chercheurs se libèrent des revues scientifiques au coût exorbitant | Theconversation.com

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Pour obtenir des financements, les chercheurs doivent publier, pour publier ils doivent payer des éditeurs, un problème ?

Source : Quand les chercheurs se libèrent des revues scientifiques au coût exorbitant

 

L’avenir de la science c’est la diffusion du savoir. Depuis ce dernier siècle, nos innovations ont explosé et ce, notamment, grâce à la diffusion des connaissances, des vraies (pas des pseudo-sciences à la con).

Cette diffusion a permis de toujours améliorer et enrichir le savoir en se basant sur les découvertes précédentes (on n’a pas inventé le smartphone sans toutes les anciennes connaissances qu’on a emmagasiné et que des gens ont su exploiter, logique).

Le souci étant que, même pour les chercheurs, pour qui leur boulot est de rester (au maximum) à la pointe des connaissances actuelles (de manière internationale) dans leur domaine et de découvrir ou inventer de nouveaux savoirs, doivent payer pour avoir accès à cette information.

Depuis l’avènement d’internet et du libre échange d’information, il n’a jamais été aussi cher d’avoir accès aux nouvelles informations (beaucoup plus nombreuses actuellement qu’il y a 50ans par effet exponentiel, 1 article publié générant de multiples articles qui vont à leur tour en générer d’autres etc.).

Quand on voit comment le processus de publication est chiant et bordélique, on ne s’étonne qu’à moitié que certains scientifiques décident de passer par des méthodes de publication autres…

Et comme toujours, ce sont les techno pirates qui fonctionnent le mieux… Pas convaincu ? https://actualite.housseniawriting.com/science/recherche-publication-scientifique/2016/04/29/telecharge-sci-hub-monde/15412/

Connaissez-vous l’Ail Noir ?

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J’ai eu l’occasion de goûter cet aliment très particulier, qu’on m’a présenté au cours d’un repas.

Imaginez ma surprise en me voyant proposer des gousses d’ail comme apéritif ! Certes, il existe de l’ail mariné qui se mange en apéritif aussi, mais cette forme est particuliere.

Une fois l’appréhension surpassée et la coque blanche et sèche enlevée, surprise ! On se retrouve face à de l’ail entièrement noir ! Noir mais brillant.
Mais le plus étonnant reste à venir…

Outre la couleur surprenante, la texture l’est d’autant plus car l’ail n’est plus dur mais mou et ferme, un peu comme un bonbon gélatineux.

À l’odeur, rien qui ne se rapproche de près à l’ail, si ce n’est une odeur très légère.

Au goût, là c’est magique, quelque chose de sucré, un peu caramel, un peu réglisse, un peu vinaigré (type vinaigre balsamique) et une texture ferme mais fondante.

Un petit sucré-salé étonnant s’ajoute, la fameuse saveur Umami.

Une agréable surprise de goût et de sensation qui va à l’encontre de ce à quoi on peut s’attendre.

J’ai donc voulu me renseigner sur cet aliment et j’ai donc appris qu’il s’agit simplement d’ail cuit durant 15 à 20 jours entre 60 et 80 degrés celsius avec un taux d’humidité élevé (70 à 90%) suivi d’un temps de séchage de 10 à 20 jours.

Chimiquement, il s’agit de la réaction de Maillard, très présente en cuisine, notamment dans les réactions de caramélisation (caramel, pain, viande rôtie, etc) et s’agit d’une réaction entre les sucres et les protéines (25% de glucides en moyenne dans l’ail et 6% de protéines).

La réaction très lente permet de transformer l’ensemble de la gousse et pas seulement l’extérieur.

Si vous avez l’occasion d’en goûter ou d’en faire, je vous le conseille.

Des recettes pour en faire :

What Do ‘Natural’ and ‘Artificial’ Flavors Really Mean? – YouTube – Le Hollandais Volant

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Source : What Do ‘Natural’ and ‘Artificial’ Flavors Really Mean? – YouTube – Le Hollandais Volant

 

Une bonne vidéo, merci du partage !

En effet, un arôme reste un arôme. C’est avant tout une molécule (un enchaînement d’atomes donc, comme tout !).

Une molécule odorante n’a d’odeur que dans notre nez (à condition qu’elle soit détectée) et par l’interprétation que notre cerveau en fait.

Une molécule reste une molécule, qu’elle soit d’origine chimique ou « naturelle » (donc biochimique, ou créez chimiquement dans des cellules vivantes si vous préférez).

La différence c’est juste que, dans la nature, les déchets de cette synthèse (la création de la molécule odorante) sont réutilisés ailleurs ou pour autre chose et que le rendement de la réaction est élevé (notamment grâce aux enzymes) et spécifique (on n’obtient qu’un produit et pas 20 qu’il faut séparer et concentrer) alors qu’en méthode chimique industrielle (donc humaine), les rendements ne sont pas aussi élevés et les déchets mal-traités.

Par contre, niveau quantité c’est pas la même histoire…

La vanille est un bon exemple de cette méthode industrielle ou on ne synthétise que la molécule la plus simple à fabriquer, abondante, la moins cher et la plus facilement détectable par notre nez. Et de ce fait, on sent la différence entre la fleur de vanille (composés de centaines de molécules odorantes) et l’arôme de vanille (qui ne contient qu’une molécule). On peut donc se rapprocher de l’arôme floral si on mélange quelques molécules mais ça coûte plus cher car il faut aussi les fabriquer (avec les mêmes contraintes que pour une seule molécule)…

De la même manière, il y a la banane et la fraise, les fameux goûts « haribo » et « tagada » ou la fraise des yaourts par exemple qui ne se rapprochent ni de loin ni de près aux fruits.
Pourtant on les retrouve aussi dans la nature, notamment dans certains vins comme le beaujolais nouveau.

En complément :

La Renaissance Des RSS // /home/lord – Le Hollandais Volant

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Exactement ! À part Facebook, Twitter, G+ (et c’est bien à peu près tout ^^), tous les autres sites sont restés accessibles en RSS

Source : La Renaissance Des RSS // /home/lord – Le Hollandais Volant

 

Le plus drôle étant que Fb propose aussi les notifications en RSS mais comme personne ne sait ce que c’est ils ne le font pas !

J’ai discuté il y a peu avec une personne travaillant en recherche bibliographique dans un grand groupe pharmaceutique, et en discutant je lui ai dit que je faisais de la veille d’information aussi et elle m’a demandé ce que j’utilisais comme technologie.

Je lui ai répondu le RSS et elle m’a confirmé que c’était une très bonne méthode et que même eux étaient en train d’y revenir par rapport aux formats proprio lourds et pas simples, alors que le RSS reste léger et flexible.

Pourquoi vouloir réinventer la roue à chaque fois ? Ah oui, les pubs et l’argent…