Curiosité

Pra quem dúvida das formigas de correição, olha esse vídeo delas formando uma espécie de ponte com os próprios corpos… pra atacar um vespeiro. – Streamable – Le Hollandais Volant

Attention, cet article date de 7 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Mais WTF ! Des fourmis font un pont dans l’air (avec leur propre corps) pour atteindre un nid de guêpes et en voler les larves.

Source : Pra quem dúvida das formigas de correição, olha esse vídeo delas formando uma espécie de ponte com os próprios corpos… pra atacar um vespeiro. – Streamable – Le Hollandais Volant

 

La vache ! Impressionnant !

Depuis que j’ai lu Werber, je ne regarde plus les fourmis du même œil !

Les fourmis ont un savoir faire de fou, que ce soit en architecture, en élevage, en myciculture (http://passion-entomologie.fr/symbiose-fourmis-champignons/), code social et là, collaboration pour un but commun.

Pfiou !

J’ajoute 2 « petits » dossiers intéressants pour les plus curieux.ses :

Ep 25 L’Inexistence de Dieu – Raisonnement par Inférence | HygieneMentale

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Un titre accrocheur mais dont la démarche reste la même, celle de la pensée critique.

Cependant, cette vidéo a le mérite de ne pas oublier que les textes anciens (dits « saints ») ne sont que les connaissances de l’époque à un instant T qui nous sont parvenus.

Je précise…

Ce serait la même chose si on se basait sur nos connaissances dites « scientifiques » d’il y a 300 ans. Rien que pour la biologie ou la biochimie, les articles scientifiques d’il y a 60 ans sont, pour certains, complètement dépassés et font sourire à l’heure actuelle, alors 300 ans… Et encore plus loin…

Il ne faut pas oublier que ce sont des suppositions, des hypothèses, énoncées à un instant T, avec les données de l’époque et les connaissances à cet instant.

Il ne faut pas non plus oublier que la diffusion des connaissances passe aussi par le support sur lequel on se base pour véhiculer l’information. Il y a 2000 ans ou plus, l’oral était privilégié car le papier était cher, rare, difficile à produire et tout le monde ne savait pas écrire.

Depuis l’invention de l’imprimerie, le livre a permis la multiplication du savoir qui a explosé et le support des connaissances a changé, il est plus simple actuellement de faire des connaissances écrites ou numériques et de les transmettre rapidement, à un coût raisonnable et en masse (ce qui pose aussi des problèmes mais a aussi de nombreux avantages sur lesquels je vous laisse réfléchir).

Les supports n’étant pas les mêmes, on sait qu’il y a eu des problèmes de traduction et de modifications de sens au fil des siècles pour adapter les mots et les idées (passage des différents support, pertes de connaissances dans le temps, modification oral de sens, traduction, etc).

Je trouve pertinent de ne pas oublier ce détail et de garder en tête que l’évolution des connaissances n’a jamais été aussi importante que durant ces derniers siècles, et ce, essentiellement pour cette question de support physique de la connaissance qui favorise leur dissémination, leur partage et leur actualisation ainsi que leur critique via de nombreuses contributions et remise en question vers ce qui semble être le plus vrai actuellement.

Je reste persuadé que les textes « saints » sont les prémices de la science de l’époque, car ils permettaient déjà de poser des hypothèses sur le monde (et ce, dans toutes les religions) et ce qui l’entoure d’un point de vue anthropocentriste (dont l’Homme est au centre, de notre point de vue direct donc, à travers nos yeux et nos coutumes, ce qui paraît le plus simple et le plus facile d’accès) avec les moyens limités pour prendre du recul et de la hauteur (dans tous les sens) de l’époque.

Cependant, il y a eu un schisme religieux à un moment qui a foutu le bordel en reniant les avancées, c’est tout.

À regarder jusqu’au bout, car il explique aussi, que la manie des scientifiques de mettre des chiffres de partout permet de se débarrasser de toute subjectivité.

Une autre vidéo du même auteur sur justement les calculs et les méthodes utilisées :

Très facile d’accès, je vous la recommande.

Phil Plait – Ne soyez pas un enfoiré (Don’t be a dick) | HygieneMentale

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Quand les chercheurs se libèrent des revues scientifiques au coût exorbitant | Theconversation.com

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Pour obtenir des financements, les chercheurs doivent publier, pour publier ils doivent payer des éditeurs, un problème ?

Source : Quand les chercheurs se libèrent des revues scientifiques au coût exorbitant

 

L’avenir de la science c’est la diffusion du savoir. Depuis ce dernier siècle, nos innovations ont explosé et ce, notamment, grâce à la diffusion des connaissances, des vraies (pas des pseudo-sciences à la con).

Cette diffusion a permis de toujours améliorer et enrichir le savoir en se basant sur les découvertes précédentes (on n’a pas inventé le smartphone sans toutes les anciennes connaissances qu’on a emmagasiné et que des gens ont su exploiter, logique).

Le souci étant que, même pour les chercheurs, pour qui leur boulot est de rester (au maximum) à la pointe des connaissances actuelles (de manière internationale) dans leur domaine et de découvrir ou inventer de nouveaux savoirs, doivent payer pour avoir accès à cette information.

Depuis l’avènement d’internet et du libre échange d’information, il n’a jamais été aussi cher d’avoir accès aux nouvelles informations (beaucoup plus nombreuses actuellement qu’il y a 50ans par effet exponentiel, 1 article publié générant de multiples articles qui vont à leur tour en générer d’autres etc.).

Quand on voit comment le processus de publication est chiant et bordélique, on ne s’étonne qu’à moitié que certains scientifiques décident de passer par des méthodes de publication autres…

Et comme toujours, ce sont les techno pirates qui fonctionnent le mieux… Pas convaincu ? https://actualite.housseniawriting.com/science/recherche-publication-scientifique/2016/04/29/telecharge-sci-hub-monde/15412/

Connaissez-vous l’Ail Noir ?

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J’ai eu l’occasion de goûter cet aliment très particulier, qu’on m’a présenté au cours d’un repas.

Imaginez ma surprise en me voyant proposer des gousses d’ail comme apéritif ! Certes, il existe de l’ail mariné qui se mange en apéritif aussi, mais cette forme est particuliere.

Une fois l’appréhension surpassée et la coque blanche et sèche enlevée, surprise ! On se retrouve face à de l’ail entièrement noir ! Noir mais brillant.
Mais le plus étonnant reste à venir…

Outre la couleur surprenante, la texture l’est d’autant plus car l’ail n’est plus dur mais mou et ferme, un peu comme un bonbon gélatineux.

À l’odeur, rien qui ne se rapproche de près à l’ail, si ce n’est une odeur très légère.

Au goût, là c’est magique, quelque chose de sucré, un peu caramel, un peu réglisse, un peu vinaigré (type vinaigre balsamique) et une texture ferme mais fondante.

Un petit sucré-salé étonnant s’ajoute, la fameuse saveur Umami.

Une agréable surprise de goût et de sensation qui va à l’encontre de ce à quoi on peut s’attendre.

J’ai donc voulu me renseigner sur cet aliment et j’ai donc appris qu’il s’agit simplement d’ail cuit durant 15 à 20 jours entre 60 et 80 degrés celsius avec un taux d’humidité élevé (70 à 90%) suivi d’un temps de séchage de 10 à 20 jours.

Chimiquement, il s’agit de la réaction de Maillard, très présente en cuisine, notamment dans les réactions de caramélisation (caramel, pain, viande rôtie, etc) et s’agit d’une réaction entre les sucres et les protéines (25% de glucides en moyenne dans l’ail et 6% de protéines).

La réaction très lente permet de transformer l’ensemble de la gousse et pas seulement l’extérieur.

Si vous avez l’occasion d’en goûter ou d’en faire, je vous le conseille.

Des recettes pour en faire :