Curiosité

Les enfants ne savent pas se servir d’un ordinateur et vous devriez vous en inquiéter. | Nicolas Le Gland

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Source : Les enfants ne savent pas se servir d’un ordinateur et vous devriez vous en inquiéter. | Nicolas Le Gland

Via SebSauvage

 

L’article est intéressant, il mérite la lecture.

Cependant, je ferai le même constat que j’ai fait ici : https://lokoyote.eu/jadore-linux-oui-encore-et-autres-reflexions/

Personnellement, je trouve que ce n’est pas forcément un mal de ne plus avoir besoin de coder, car ça montre que les systèmes d’exploitation sont de plus en plus fiables et que les systèmes sont adaptés à l’utilisation globale des gens et se simplifie en ergonomie. Seuls ceux ayant un besoin spécifique se tourneront vers la console.

Ce qui est important de nos jours c’est d’apprendre à se débrouiller un maximum pour des choses simples, qui font partie intégrante du système que vous utilisez (Linux, Windows ou Mac) comme repérer pourquoi l’accès à internet ne fonctionne pas.

Changer une partie matérielle et réinstaller un OS en entier est un cran au-dessus pour ma part.

Tout le monde ne s’intéresse pas à l’informatique mais ça ne doit pas être une excuse pour ne pas apprendre, car, il est vrai que de plus en plus d’objets que nous utilisons sont en rapport avec l’informatique et affecte plus ou moins nos vies et que nous devenons dépendants de nos ordinateurs pour nos vies personnelles et professionnelles.

L’ordinateur reste encore à peu près un de ces derniers outils qu’on peut fouiller et bidouiller.

Il est clairement plus pédagogique d’apprendre à un utilisateur les dangers d’une mauvaise manipulation pour qu’il sache le pourquoi de ne pas faire telle ou telle manipulation, installer telle ou telle application, l’importance de reconnaître certaines infos, etc. Mais aussi comment éviter et réparer les problèmes par une démarche. Je sais que ça commence à se mettre en place dans certains établissements et il faut continuer. Il faut comprendre.

Il ne faut cependant pas oublier qu’il nous a fallu, à nous qui nous débrouillons bien en info, de très nombreuses heures d’échecs et de tâtonnement pour apprendre ce qu’on connaît actuellement.

Comment lire et comprendre une étude scientifique ? – Maniac Geek

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Je vous propose quelques conseils pour lire et comprendre une étude scientifique.

Source : Comment lire et comprendre une étude scientifique ? – Maniac Geek

 

À lire !

La meilleure source d’informations reste et restera les études scientifiques (publiques ou privées).

Attention à ne pas se limiter à une seule publication et attention aux dérives de certaines publications subventionnées. L’enjeu est d’avoir un ensemble de données suffisamment cohérent et statistiquement puissant et surtout de rester critique face aux résultats !

La beauté cachée de la Science – DBY #31 – YouTube

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Je suis assez d’accord sur son point de vue, la Science est neutre, pleine d’objectivité, c’est son but.

Rien n’empêche après de donner de l’importance subjective à ses connaissances en y ajoutant une notion de « beau ». L’exemple de la fleur est pour moi parfaitement parlant. Plus on en apprend et plus on se rend compte de la complexité et de la « beauté » de toutes ces relations étroites qui existent à toutes les échelles, et tout ceci, grâce au hasard et de nombreux années siècles millénaires de sélection/évolution/adaptation.

Pfiou !

Les arômes tertiaires du vin : un feu d’artifice odorant !

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Le vin, comme je l’ai précédemment évoqué, est vivant (dans tous les sens du terme) et de ce fait évolue.

J’ai eu l’occasion ce semestre de goûter à pas mal de vins (rouges, blancs, champagne) pour nos cours de sensorialité. Et cette semaine, une dégustation de vin portugais (très forts en alcool) nous a été servi afin que nous jugions par nous même l’ensemble des vins en inscrivant ce que nous sentions/goûtions sur une feuille avec un numéro codé qui sera distribuée ensuite à quelqu’un d’autre. Cette personne devra alors dire si la feuille qu’elle a dans les mains correspond au vin A, B, C ou D en fonction de ce qu’elle a perçue en goûtant et des descriptifs indiqués.

Exemple d'une dégustation

3 verres noirs contenant des vins et un verre blanc pour se rincer la bouche avec de l’eau en bouteille

(pour ne pas être influencé on utilise des verres noirs en dégustation qui empêchent de voir le vin et on crache… Ouais c’est triste !).

C’est trèès difficile, croyez-moi. Il faut vraiment s’entraîner et être pertinent pour discriminer les vins en mettant des mots précis sur des impressions. Le caractère hédonique (j’aime/j’aime pas) n’entre donc pas en jeu car chacun aime un type de vin en particulier.

Essayez quand vous aurez l’occasion en soirée, vous verrez que déjà, faut savoir se mettre d’accord sur les termes.

Et choisissez des bons verres à vins pour vraiment sentir les arômes, le verre a une grande importance là-dessus, en aucun cas des verres en plastique qui accrochent les odeurs !

Et on ne remplit jamais un verre de vin au plus du tiers !

Les verres presque universel sont ceux-là : https://www.amazon.fr/Verres-%C3%A0-Vin-D%C3%A9gustation-cristallin/dp/B00E950URA/ref=sr_1_3?ie=UTF8&qid=1480171372&sr=8-3&keywords=Verres+de+d%C3%A9gustation+INAO

La norme INAO AFNOR représente des dimensions précises pour le verre afin que le vin dégage le plus son potentiel (et c’est vrai).

Mais c’est intéressant à faire !

(Pensez à sentir une première fois sans faire tourner le vin dans le verre puis une deuxième en le faisant tourner pour que les odeurs sortent du liquide. Vous verrez que la différence est frappante !)

Bref ! Je continue.

Nous avons eu à ce moment un vin, que nous avons appris à la fin de l’exercice, de 12ans d’âge !
Eh bien croyez-le ou non, les arômes et odeurs de ce vin étaient divins ! Un mélange de boisé, d’épices, de poivre, de tabac frais et d’autres trucs que je n’ai pas su reconnaître.

Une explosion d’odeurs agréables dans le nez ! Rien à voir avec les odeurs « simples » qu’on peut retrouver dans un vin jeune.

Pourquoi ?

C’est ce qu’on appelle les arômes tertiaires du vin.
Les molécules odorantes issues de la fermentation par les levures (arômes secondaires) vont changer chimiquement, grâce aux bactéries encore présentes, l’oxygénation du vin en fût (un des avantages en plus d’échanger des molécules du bois) et dans la bouteille (d’où l’intérêt du liège) et via des interactions entre les molécules pour former des arômes tertiaires (en cohabitation avec les arômes primaires et secondaires).
Et tout ceci sans aucun ajout d’arômes ! Seulement du raisin !

Toute cette palette d’arômes ne se prévoit pas à l’avance et c’est là la surprise.

Les odeurs de fruits seront moins présentes, de même que le goût en bouche sera différent (moins acide, plus doux, plus « chaud » par exemple) et d’autres arômes se feront sentir que vous n’avez pas détecter simplement en reniflant, et je peux comprendre pourquoi les vrais amateurs de vins apprécient le bon et vieux vin.

Ce n’est que lorsque le vin est bien fait et qu’il est bien gardé qu’il montre tout se potentiel gustatif avec de très bonnes surprises !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arômes_du_vin

http://blog.vinizos.com/le-monde-du-vin/les-aromes-du-vin/

Ep14 Enquêter sur le Paranormal : les Diapositives de Roswell – YouTube

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J’adore cette chaîne, tout est LOGIQUE !

Ceux-ci devraient en faire de même !