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Faux pass sanitaire et 3e dose, une aubaine ?

Attention, cet article date de 1 an, les informations peuvent ne plus être à jour...

Les faux pass sanitaires ne sont malheureusement pas imaginaires et sont facilement trouvables moyennant finance sur les réseaux.

Je connais quelques personnes qui, comme ««« bons antivax »»» (notez bien le nombre de guillemets) ont préféré payer pour pouvoir profiter de loisirs et contaminer le plus de monde possible et participer aux réductions des retraites.

Là où l’ironie les rattrape, c’est que ces personnes ont vu leur faux pass sanitaire devenir inactif suite à l’ouverture de la dose de rappel au public depuis fin novembre.

De plus avec le nouveau variant OMICRON, certains ont déjà été atteints.

Le souci de ce pass c’est qu’il n’est pas vérifié par rapport à votre identité.

Les personnes chargées de vous contrôler n’ont pas le droit (pour le moment ?) de vérifier votre carte d’identité. De ce fait, n’importe qui voulant prendre le pass de quelqu’un d’autre pour profiter reste toujours possible.

Loin de moi de vouloir aller sur le terrain des effets à long termes inconnus ou de l’obligation du vaccin mais il faut tout de même avoir en tête que de nombreuses maladies qu’on pensait disparu réapparaissent et qu’on risque de ne plus pouvoir s’en débarrasser facilement à cause de l’immunité de groupe qui ne peut pas fonctionner et qui favorise les mutations de ces virus en restant suffisamment longtemps dans une niche écologique pour s’adapter.

Et il n’y a pas que la France, si les autres pays ne peuvent pas se faire vacciner, enchaîner les vaccins par peur ne servira à rien non plus.

On n’est pas encore débarrassé malgré les moyens actuels…

Le blog a-t-il encore de beaux jours devant lui ?

Attention, cet article date de 1 an, les informations peuvent ne plus être à jour...

Malgré l’avènement des réseaux sociaux et des vidéos en ligne, les sites, forums et autres blogs ont encore de beaux jours pour la simple et bonne raison que toutes les recherches effectuées sur le net se font (pour le moment) quasi exclusivement par le texte.

Les vidéos référencées dans les recherches sont présentées par rapport au descriptif mais surtout au titre.

Les réseaux sociaux étant fermés dans leur bulle, le référencement sur le net n’est pas très permissif et il est donc difficile de trouver une information sur ces plateformes si elles n’ont pas été rediffusées à l’extérieur. Ce qui est dommage car certains groupes de discussion sont de très bonnes pépites d’informations un peu spécialisées…

SAUF QUE…

Youtube est désormais capable de générer quelques sous-titres de manière automatique par reconnaissance sur des vidéos et il est donc potentiellement possible de rechercher des passages dans des vidéos qui répondent à notre requête Google.

Cela m’est déjà arrivé pour quelques recherches en Anglais essentiellement mais je pense que si la personne articule bien, en Français ça doit également se faire.

Par contre, c’est aussi très intéressant pour accéder à une partie d’une vidéo qui nous intéresse sans devoir se taper toute une vidéo de 15min pour un tuto qui peut se faire en 3 ligne d’écriture…

Pour rechercher dans les sous-titres générés, aller dans les « … » sous la vidéo à côté de « Enregistrer » puis sur « Ouvrir l’onglet « Transcription » » et de faire une simple recherche sur la page avec les mots clés voulus.

Il serait donc très intéressant je trouve de pouvoir le faire de manière automatique pour trouver des données de manière précise et surtout rapidement à l’heure où la monétisation prime sur la diffusion et le partage.

Les notions de temps et d’investissement en entreprise

Attention, cet article date de 2 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

https://lehollandaisvolant.net/?mode=links&id=20210903160944

Si je peux venir de façon exceptionnelle un samedi ou durant un congé pour dépanner, je peux aussi prendre congé un jour ouvré.

Je rejoins Timo à 100% pour ça.

Mon employeur actuel ne se gêne pas pour demander aux employés de venir en plus sur leur jour de repos car il souhaite « de l’investissement » de la part de son équipe et pour lui cela semble normal de faire travailler ses employés en plus sans forcément vouloir payer ces heures supplémentaires…

N’étant pas d’astreinte, je me garde le droit de refuser à répondre à ces sollicitations pendant mes vacances, mes jours de repos ou n’importe quels autres moments où je ne suis pas au travail, que ce soit par message ou appel, simplement car j’estime que l’investissement demandé n’est lié à aucun retour de sa part, et ce retour j’appelle ça de la reconnaissance (qui peut se matérialiser sous différentes formes évidemment).

Mes collègues ayant tous décidés de travailler pendant leur jour de repos me regardent de travers car mon employeur a réussi à avoir suffisamment d’emprise sur eux pour qu’ils pensent que cet investissement demandé doit s’étendre au-delà de leur heures de travail.

Je ne suis pas le patron de mon entreprise, je reste un employé payé pour son travail, basé sur un nombre d’heures passées à mon poste par rapport à une certaine charge de travail. Tout supplément reste du temps de travail.

Des employeurs savent bien vous faire remarquer lorsque vous arrivez en retard ou que vous partez un peu en avance mais semblent estimer que votre temps passé en plus pour travailler est parfaitement normal et ne jugent pas qu’il faut équilibrer le temps supplémentaire avec un temps de votre vie personnelle.

J’estime que ces « écarts » doivent rester exceptionnels et que ce genre d’employeurs oublient que ce temps supplémentaire au travail c’est du temps personnel qu’on donne à l’entreprise pour aider, et que parfois, on a besoin de ce temps personnel pour diverses raisons.

Alors oui, l’entreprise est notre lieu de travail, ce qui nous permet de gagner de l’argent, mais cet argent n’est pas là que pour subvenir à nos besoins, on le gagne aussi pour se faire plaisir et profiter de notre vie personnelle.

Heureusement que beaucoup d’employeurs ne sont pas comme ça et qu’ils savent séparer le pro du perso.

Quant aux autres employeurs, ils ne méritent aucun effort de la part de leurs employés.

L’importance de la nuance selon Étienne Klein – Youtube

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J’aime beaucoup Étienne KLEIN, il m’a permis de mieux appréhender la philosophie et de la remettre dans les sciences entre autres avec Nicolas MARTIN dans leurs émissions sur France Inter (la Conversation scientifique et la Méthode scientifique).

Je ne suis pas toujours d’accord à 100% avec Étienne KLEIN, notamment le fait qu’il critique l’ultracrépidarianisme et tombe dans le biais en se prononçant sur des sujets qu’il ne maitrise pas, mais il a le mérite de pousser à la réflexion et de creuser des pistes intéressantes.

Je finis par une citation qui m’a plu :

Le plus grand ennemi de la connaissance n’est pas l’ignorance mais plutôt l’illusion de la connaissance

— Stephen Hawking

Quand la connaissance est vue comme du mépris…

Attention, cet article date de 2 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Comme beaucoup de monde je discute, j’écoute et j’apprends.

J’essaie de m’intéresser à des choses et d’autres, trouver des sujets de conversations intéressants et dans certains cas, argumenter quand le sujet le demande.

Sauf que…

Il m’arrive qu’on me traite de « Monsieur je ramène ma science » et donc de me coller l’étiquette d’une personne hautaine parce que je sais.

À quel moment peut-on dire d’une personne qui a des connaissances, c’est-à-dire qui sait des choses parce qu’elle s’y est intéressée et a passé du temps à « étudier » (dans le sens de se renseigner, la science n’est pas infuse hein) sur des sujets, qu’elle est méprisante dans le fait de ne raconter que des faits ?
N’a-t-on plus le droit de contester une personne quand elle raconte de la merde ? Doit-on simplement dire « oui » pour lui faire plaisir et lui montrer que son manque de connaissance est un atout ?

Est-ce parce que les gens en face se sentent rabaissés par un effet miroir de leur manque de connaissance qui les insupporte ?

Ne pas savoir, ne pas maîtriser un sujet, n’est pas un crime et n’est pas non plus insultant ni honteux.

Ce qui est honteux en revanche, c’est le rejet d’une forme d’apprentissage par la discussion, car on apprend également avec des personnes qui ont des connaissances.

Tout le monde apprend de manière continue. La seule manière d’apprendre plus vite c’est de se pencher sur des questions et de potasser, d’étudier de manière intensive… Moi j’appelle ça l’enseignement (même s’il existe évidemment d’autres manières d’enseigner).

Les étudiants ne restent pas assis pendant 20 ans ou plus assis sur une chaise à attendre que le temps passe et passer un examen, mais ils apprennent.

20 ans à apprendre c’est considérable et c’est un temps de 6 à 8h par jour !

Je vois pas grand monde se dire « et si j’allais dans une bibliothèque lire des livres toute la journée ».

Je sais que maintenant j’apprends beaucoup moins vite et en moindre quantité car j’ai moins de temps pour apprendre, mais je profite du temps que je peux dégager pour cette activité à apprendre le mieux possible.

Un enseignant scolaire enseigne.
Il y a quelques centaines d’années, la transmission du savoir n’était faite qu’à l’oral, puis par l’échange et les livres.
Maintenant internet (depuis seulement une dizaine d’années) peut aider (ou pas, selon les sources consultées).

Traiter une personne qui a quelques connaissances dans des domaines (mais pas dans d’autres, on ne peut pas tout savoir) est pour moi un aberration…

Apprendre ça ne s’est jamais fait en un claquement de doigt et c’est pour ça qu’il faut être tolérant sur la connaissance, chacun est libre d’apprendre ou non, tout le monde n’apprend pas au même rythme et personne n’a les mêmes centres d’intérêts que son voisin.

La connaissance, c’est de la culture, ce n’est pas de l’intelligence, mais ça aide à réfléchir. Ce sont bien souvent des données, des faits, qui permettent d’argumenter, ce n’est pas une croyance ou une conviction et c’est souvent ce qui pose problème lors d’échanges. On peut être persuadé de quelque chose à tort ou à raison, mais justement, ce sont les arguments qui consolident cette idée qui permettent de savoir réellement si notre conviction est vraie.

Mais faire une apologie de la bêtise au nom de l’ignorantisme et de l’obscurantisme par facilité d’esprit, plutôt que de faire l’effort de surmonter son égo en osant (se) dire « je ne sais pas » au lieu de dénigrer la culture sous toutes ses formes, reste pour moi quelque chose que je ne tolère pas.

De toute manière, depuis que le terme « intello » est devenu une insulte, je pense que c’était déjà le début de la fin.