Attention, cet article date de 2 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...
La Nintendo Switch, bien que relativement faiblarde niveau puissance, est, je trouve, une bonne console polyvalente qui permet aussi bien de jouer en mode console de salon pour du multijoueurs qu’en mode « Game Boy » (paie ta ref de vieux) pour jouer en mode portable tranquillement affalé où on veut.
Ça reste une tablette avec un écran pas forcément très grand, avec des manettes accrochées et détachables (sauf pour la version « lite »), ce qui permet de jouer avec de vraies boutons physiques.
7 pouces (18cm) pour la version Oled
6,2 pouces (16cm) pour la Switch (2019)
5,5 pouces (14cm) pour la Switch Lite
La taille des écrans de smartphone actuels étant comprise entre 4,7 pouces (12cm) et 7 pouces (18cm), on est en plein dedans.
Nintendo ne voulant pas proposer un émulateur gratuit pour des vieux jeux en ayant une technique de vente assez discutable, et moi ayant une sainte horreur des jeux sur smartphones avec les touches virtuels sur l’écran, je me suis dit :
Sachez que si vous avez une imprimante 3D, de nombreux modèles existent pour simplement créer les supports avec un système de fixation pour smartphone.
Si vous n’en avez pas, ce genre de support est trouvable sur le net sur différents sites avec des prix parfois abusés…
Spoiler alert : Ce n’est pas sur Amazon que vous trouverez votre bonheur pour ça.
Personnellement, j’ai pris un modèle qui permet de clipser les Joycons de part et d’autres du smartphone avec des pinces façon support smartphone de voiture.
Et possibilité de jouer aussi aux anciens jeux par émulateurs (au moins jusqu’à la PS2 avec la puissance de certains smartphones actuels), et sans aucun souci pour des vieilles consoles.
Je refais quelques jeux, notamment certains Zelda que je n’ai jamais fait et redécouvre les ««« joies »»» de la caméra fixe mais aussi des « roms hack » !
Pour les iPhones, apparemment les émulateurs sont interdits sur le store. Il faut passer pas un store alternatif qui propose les émulateurs.
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Souvent montré du doigt par les parents envers les jeunes, à juste titre quelques fois, le jeu vidéo est un passe-temps chronophage qui peut nuire à la scolarité des plus jeunes si des cadres ne sont pas mis en place.
MAIIIIIIIIIS !
Outre les jeux de tir en première personne (i.e « FPS ») très mis en avant par les médias grand public pour leur violence, la palette de genres de jeux est assez énorme et ne cesse d’augmenter avec le développement des technologies (avant les jeux en 3D, il n’y avait que la 2D et donc forcément moins de « choix » dans les genres, qui sait quel genre de jeux on aura demain ?), allant du jeu de plateforme classique, au FPS en passant par le RPG (jeu de rôle), les jeux d’horreur ou encore les Hack’n slash (comprendre « foncer dans le tas ») etc.
Malgré certains défauts pointés, le nombre d’heures passées sur un jeu vidéo peut sembler parfois déraisonnable pour les non-joueurs, allant de quelques heures à quelques centaines d’heures de jeu (voire milliers si on cumule).
Autant d’heures que d’autres personnes passeront au bar, en vadrouille, au sport, à la lecture ou devant des séries.
Outre le fait de rester devant un écran, je considère le jeu vidéo comme un support qui permet de vivre pleinement quelque chose. Je fais cette petite liste pour expliquer :
La vie réelle : reste évidemment le meilleur moyen de découvrir des choses par soi-même mais sont limitées par nos possibles et nos capacités réelles.
Le rêve : bien que personnel et sans limite, le rêve pousse les émotions à leur maximum et il est possible d’expérimenter bien plus de choses que dans la vraie vie dans des situations qui n’arriveront sans doute jamais en vrai.
Le livre : Bien que « spectateur », chaque livre est unique dans la tête de celui qui le lit car sa vision du monde qu’il découvre est dans sa propre tête et la représentation est limitée par ses propres connaissances. Le lecteur et vit au travers de personnage qu’il incarne en essayant de comprendre les émotions écrites par l’auteur.
Le jeu vidéo : bien que spectateur, le joueur est également acteur et vit le jeu au travers d’une projection qu’il fait de lui-même sur un avatar virtuel au travers d’expériences très diverses ne nécessitant pas forcément de mots pour transmettre des émotions. Depuis peu, la narration est plus ou moins linéaire et peut être choisie par le joueur en fonction de ses choix dans certains genres. Il est difficile de faire une généralité sur ce point tant les genres sont différents et ne permettent absolument pas les mêmes choses entre eux.
Les films : spectateur devant des scènes où des acteurs tentent de transmettre des émotions fortes, les scènes et le rythme sont imposés. Le choix des musiques, de la lumière, du rythme etc. sont d’autant de choses qui vont impacter le spectateur, l’image ne fait évidemment pas tout.
Avec ses nombreuse heures de jeu, le joueur apprend dans un univers où les règles sont codées afin de vivre l’aventure proposée.
Le fait de pouvoir créer son personnage comme on le veut dans les RPG par exemple, permet d’apporter un lien supplémentaire entre le joueur et le personnage. Dans les jeux à choix, il est possible que vous choisissiez naturellement des solutions qui se rapportent le plus à vos convictions réelles, vous transposez votre « vous » sur votre avatar.
Il y a de nombreux articles traitant du sujet de l’attachement aux personnages vidéoludiques et des avatars si le sujet vous intéresse, c’est très passionnant !
Personnellement j’affectionne énormément les jeux très scénarisés avec une histoire bien écrite et surprenante, dans un univers que l’on découvre via de nombreux détails apportant une profondeur très réaliste à cet univers.
J’aime aussi les jeux où on est bousculé émotionnellement, en bien ou en mal, qui marquent assez fortement le joueur (par exemple, le jeu « Hellblade Senua’s sacrifice » est un jeu tout en métaphore qui fout une sacrée claque une fois fini au moment où on comprend l’ensemble !).
Enfin, j’adore les jeux de réflexion où il faut savoir penser différemment (« outside the box » comme on dit dans le milieu), je pense notamment à la série Portal (surtout les mods ou les salles inventées par la communauté pour pousser les limites du jeu) , Antichamber, The Talos Principle, The Entropy Centre, Oneshot etc.
Le large choix des genres vidéo permettent de tester une multitude de choses et les très nombreuses heures passées dessus peuvent servir.
Comme les romans qui permettent de développer de nombreuses compétences (apprendre du vocabulaire et de la grammaire, l’empathie, l’imagination, la culture, la concentration, la sensibilisation à l’art du dessin ou encore l’écriture [liste non exhaustive]), le jeu vidéo n’est pas avare sur ce qu’il peut apporter :
Gestion de temps
Gestion de ressources (humaines ou matériels)
Gestion de stress
Réactivité / Réflexes
Esprit d’équipe
Concentration
Mémoire
Persévérance
Stratégie
Créativité
Logique et Esprit d’analyse
Motivation
Adaptation
Communication
Débrouillardise
Coordination
Apprentissage rapide
Meilleure vue
Apprentissage d’autres langues
Curiosité
Apprentissage de compétences techniques (plus sur la partie informatique qui gravite autour comme le montage de PC et de gestion de serveurs de jeux que le jeu en lui-même)
Et d’autres sûrement !
En préparant cet article je suis tombé sur cette vidéo TEDx assez sympa, pas longue et très accessible :
Pour ma part, la résolution de problème, la réactivité, la débrouillardise, l’esprit d’analyse, la gestion de ressources et de temps et la créativité ont été impactés par les jeux vidéos.
Je ne dis pas que j’ai acquis ces compétences uniquement par le jeu vidéo. Les activités sportives et les arts (dessin, musique, sculpture etc.) demandent et exigent également beaucoup de compétences acquises dont une partie provient aussi de ce côté, mais je pense sincèrement qu’au nombre d’heures/jours/mois (entourer la bonne réponse) passés à jouer, les jeux vidéos ont forcément eu un impact sur ma manière d’être et de penser.
Toute activité a et aura un impact sur notre vie, il suffit de savoir identifier cet impact et d’en faire une compétence passive pour la mettre en avant, ou ne pas vouloir le faire mais prendre conscience de ce qu’on en a pu en tirer et ne pas forcément culpabiliser de jouer parce que ça reste tout de même un loisir !
Autant certains problèmes peuvent s’imaginer et on peut mettre en place des solutions préalables (un seau d’eau à côté d’un feu de camp par exemple), pour d’autres, beaucoup d’autres, les accidents arrivent sans qu’on ait su que ça pouvait arriver (loi de Murphy, bonjour !). Oui, il faut un accident pour mettre en place des sécurités.
Tout à fait d’accord, c’est malheureux mais tant qu’un problème n’est pas arrivé souvent rien n’est fait.
Même si on met en place des moyens de préventions, on n’imagine pas tous les cas possibles, mais on essaie.
Dans beaucoup de secteurs où les dangers ne sont pas forcément visibles car pas directs pour le consommateur/client, c’est souvent la sécurité des employés qui est sous-estimée.
Il y a une phrase que j’aime beaucoup sortir en QHSE (Qualité Hygiène Sécurité Environnement) : Quand il y a un problème, la question n’est pas de savoir SI il va y avoir un accident, mais QUAND il va arriver »
Cette séquence d’événement n’est pas naturelle : on ne trouve pas de vinaigre dans la nature. Des raisins, oui, mais pas du vinaigre. C’est un processus élaboré par l’être humain et ça fait donc du vinaigre un produit artificiel.
Euh non c’est complètement faux.
Pour preuve, c’est une « fermentation » (pas vraiment, mais bon on va faire simple) par des bactéries dites « Acétiques » du genre Acetobacter qui dégradent l’alcool en présence d’oxygène pour faire de l’acide acétique, et a priori les bactéries ça reste naturel, ça existe dans la nature.
Donc si ces bactéries existent c’est bien que le processus est naturel.
Je cite Wikipédia :
À l’état endémique, les bactéries acétiques sont phytophiles. Elles sont principalement présentes sur les sécrétions des végétaux ou de certains insectes phytophiles (puceron, abeille…) ayant éventuellement subi une fermentation alcoolique : suc de fruit mûr, nectar, miellat, miel, exsudats de sève et d’oléorésine…
Donc oui, le vinaigre existe à l’état naturel, pas en d’aussi grande quantité ni concentration que dans nos bouteilles mais il existe.
Le vinaigre, comme l’alcool, ne sont pas des produits créés par l’homme par synthèse, on passe encore et toujours par des microorganismes qui créent ces produits. On a juste créé un procédé pour optimiser leur production et leur concentration.
De même que l’alcool, qui est une des étape (transitoire et fragile) dans la transformation de sucres par des microorganismes existe, mais pas en d’aussi grande quantité ni concentration que ce qu’on fait actuellement. Avoir un milieu avec des levures sans bactéries ça n’existe presquepas dans la nature.
En milieu naturel on trouve un mélange de levures et de diverses bactéries, les produits sont dégradés et transformées en un mélange de sous-produits.
Merci de vérifier avant d’affirmer des choses qu’on ne maîtrise pas et de ne pas faire d’ultracrépidarianisme, chacun son métier et chacun son domaine.
Pour re-répondre à ta réponse, je maintiens, l’acide acétique est une molécule, elle existe à l’état naturel, donc le vinaigre existe naturellement, c’est l’utilisation que l’on en fait et le nom « vinaigre » (attention, celui de cuisine n’est pas constitué uniquement d’acide acétique, c’est bien pour ça qu’il est consommable et bon en goût) associé qui n’est pas « naturel ».
Pour l’huile d’olive, on peut très bien parler d’huile d’olive même avec une olive écrasée, je vois pas le problème. Ça reste de l’huile issue d’une olive, et je pousserai même encore plus loin, l’huile est déjà présente dans l’olive, le fait de l’écraser ne fait que l’extraire (c’est ce qu’on appelle la « presse »).
Pour le coup de la chèvre OGM et de la soie d’araignée, je vois pas le rapport, faut pas tout confondre…
C’est pas bête du tout. Ok, le coût de la cuisson sera répercutée chez le client, mais la chaleur produite par le four aurait quoi qu’il en soit été dépensée en chauffage. Au final, ce n’est pas réellement une perte ni un surcoût.
Euuuuh ben si c’est un surcoût, c’est beaucoup plus énergivore en fait puisque pour faire chauffer 3 croissants chez soi va falloir allumer le four avec le préchauffage et l’énergie que ça implique, et ce, pour plusieurs personnes, alors qu’à la boulangerie, une fois que le four est lancé, c’est de l’entretien de chaleur… Même si la boulangerie est un consommateur énorme d’énergie, car, même si l’énergie n’est pas utilisée pour chauffer, elle sera utilisée ici pour garder au froid les pâtes.
Le concept existe déjà depuis longtemps, ça se trouve au rayon surgelé. Il existe la même avec les pains aussi à cuire chez soi.
Si l’énergie était aussi simple à gérer, je pense qu’en agro on se ferait pas chier à savoir si ça vaut le coup parfois de lancer une machine de fabrication en urgence en production pour un petit volume ou non par rapport au temps de travail, savoir si c’est rentable.
Le prix d’un produit est défini par le coût des matières premières, l’énergie utilisée, le temps de travail et le coût de la main d’œuvre, et évidemment le marketing (à savoir combien les gens sont prêts à dépenser pour acheter ledit produit).
Vous pouvez trouver librement de l’information et échanger respectueusement en donnant votre avis ou en posant des questions.
En tant que propriétaire de ce Blog, je ne demande pas de subvention, mais des avis utiles sur lesquels débattre et des retours qui sont toujours plaisants :)
Bonne lecture !
Le plus grand ennemi de la connaissance n’est pas l’ignorance, mais plutôt l’illusion de la connaissance.