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Xiaomi Mi Notebook Air : Test complet – Les Numériques

Attention, cet article date de 9 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Ce premier PC portable proposé par Xiaomi est indéniablement une excellente surprise. Il profite en effet d’un design classique, mais très bien exécuté, d’un format extrêmement transportable, d’un écran de qualité, d’une bonne autonomie et d’une configuration suffisante pour la majorité des usages nomades. Il faut cependant bien avoir conscience qu’un tel produit d’import impose de faire avec un clavier QWERTY, un Windows 10 en chinois et un chargeur d’origine non compatible avec les prises européennes.

Source : Xiaomi Mi Notebook Air : Test complet – Les Numériques

 

Il me tente vraiment ce PC. Dommage qu’il ne soit pas compatible FR.

Je cherche actuellement un PC robuste avec une très bonne autonomie (minimum 7h), compatible Linux (Mint ou Ubuntu) et raisonnablement équipé pour du semi-pro (de la retouche photo et un peu de montage vidéo) et en 13″.

Mon choix s’orientait vers le Dell XPS 13 2016 mais le prix m’a refroidi, j’ai pas les moyens actuellement pour mettre plus de 800€ dans une machine.

Si vous avez un avis, hésitez pas.

Sinon il y a les iNote de Clevo, mais j’ai des doutes sur l’autonomie réelle.

Bordel de bordel

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Mais dans quel monde vit-on ?! C’est réellement de pire en pire !

Le niveau d’étude augmente mais pas l’intelligence apparemment…

Pourquoi j’ai arrêté la nutrition… En tournant ma veste

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Après ma Licence en Biochimie qui m’a dégoûté de cette discipline (merci à mes anciens enseignants-chercheurs d’avoir été aussi peu compétents et peu pédagogiques), il m’a fallu me réorienter.

Un parcours en nutrition s’est profilé devant moi et il me permettait de continuer sur mes acquis de connaissance en Biochimie (Métabolisme, Biologie cellulaire et moléculaire, Enzymologie, Neurologie, etc) tout en me spécifiant (Valeur santé des aliments, Physiologie de la Nutrition, Régulation hormonale, etc).

Non la nutrition ce n’est pas aussi simple que ce que beaucoup de gens peuvent penser.

Bref ! J’entrevoyais déjà les applications concrètes pour aider les gens.

Sauf qu’après réflexion j’ai très vite déchanté.

La Nutrition c’est l’étude de l’alimentation sur la santé. Savoir quel composé permet de donner de l’énergie et comment, le rôle direct et indirect des nutriments sur nos hormones et nos cellules, les effets cancérigènes possibles, etc. C’est très vaste et très intéressant.

Cependant, les vrais domaines d’applications sont la prise en charge des personnes atteintes de cancer et de diabète, et donc la Recherche.

Ce diplôme n’amène à rien. « Nutritionniste » est le diminutif de « Médecin Nutritionniste ». Comme je ne suis pas médecin… Et si en plus vous n’avez pas de diplôme en diététique (qui ne sert à rien en Nutrition tellement la diététique est fausse) vous ne pouvez pas vous mettre à votre compte en tant que « Nutritionniste-Diététicien » qui permet d’ajouter une plus-value sur la diététique.

Reste à faire un double cursus en tant que Marketeur par exemple, autrement dit, mentir sur un produit pour le vendre par des allégations nutritionnelles par exemple.

La lutte du moment en Nutrition c’est le combat contre l’obésité et le diabète de type 2. Pour les combattre, on essai de créer des produits qui permettront à ces malades de guérir. Le problème, c’est que cette maladie se développe quand on ne sait pas manger équilibré et qu’on ne fait pas de sport (dans 99% des cas, moins de 1% est due uniquement à la génétique individuelle).
Vous avez pensé « Paradoxe » ?

On sent l’influence des lobbies de l’agroalimentaire qui refusent de faire des produits corrects pour éviter aux gens de manger de la merde, mais aussi des lobbies pharmaceutiques qui veulent vendre des médocs.

 

Quand on m’a demandé pour mon entretien en M2 (entretien réalisé par 2 vieilles aigries qui n’étaient pas de la fac) ce que je pensais des mesures prises pour aider les gens, je leur ai répondu que leur slogan marketing « manger 5 fruits et légumes par jour », « les produits laitiers » et autres bullshit publicitaire étaient complètement débiles et que s’ils voulaient toucher les gens il fallait déjà savoir vulgariser, donner envie aux gens de se renseigner, faire des putains d’étiquettes alimentaires claires qui ne montrent pas que les industriels cachent des trucs, se développer sur le marché du mobile (qui est le moyen le plus direct pour toucher les gens) et surtout de faire de la prévention à l’école pour éduquer les jeunes consommateurs loin des habitudes (transmises par les parents) qui ont beaucoup plus d’impact que leur slogan !

Et là… On m’a remballé comme c’est pas permis.

Autant dire que je n’ai pas été accepté au M2 pour « Résultat insuffisant », alors que je n’ai jamais eu de moyenne aussi élevée depuis ma 1e année de fac.

Il y a un vrai intérêt à la Nutrition pour les milieux hospitaliers mais c’est tout. Et pour ceux que ça intéresse sachez que l’avenir de la Nutrition est la Nutrigénomique et que toutes les innovations du moment tournent autour du marketing des prébiotiques et probiotiques (notion de microbiote très intéressante, à lire : http://www.inserm.fr/thematiques/physiopathologie-metabolisme-nutrition/dossiers-d-information/microbiote-intestinal-et-sante).

 

Pourquoi j’ai tourné ma veste ?

En choisissant les Procédés Fermentaires (Vin, bière et fromage), j’ai choisi le côté plaisir de la Nutrition, celui qui privilégie le gras, le sucre et l’alcool.

Outre le fait que ces 3 composés sont considérés comme mauvais dans la Nutrition, ces produits sont presque entièrement artisanaux.
Les consommateurs (dont je fais partie) achetant ces produits, les choisissent uniquement par plaisir, on peut très bien s’en passer, mais que serait une soirée sans une bonne bière, un repas sans un bon vin ou un bon fromage (voire les 3 ?) ?

Ici, pas de gros lobbying, pas de question Nutritionnelle et d’impact sur la santé (pas encore ?), seulement le bien être de nos levures et bactéries afin de créer un produit bon gustativement et sanitairement en maîtrisant le process pour le créer. Il y a aussi une grosse part de Recherche mais qui ne va pas à l’encontre d’une amélioration gustative.

Pourquoi faut-il changer notre vision de l’aliment ?

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En faisant mon année de M1 en nutrition l’an dernier et notamment via mon stage basé sur l’olfaction, ma vision de l’alimentation a changé. Je ne me focalise pas sur les produits bio ou sur les soi-disant produits sains (je mange de tout, en fonction de ce qui me plaît et de mes besoins), mais j’ai appris à apprécier ce que je mange ou bois !

Chose naturelle dira-t-on, lorsqu’on mange, on est censé savoir si l’aliment nous plaît, sinon on l’achèterait pas ou ne le mangerait pas.

Sauf qu’à la vitesse où de nombreuses personnes mangent ou le contexte dans lequel elles mangent ne leur permet pas d’apprécier l’aliment comme il se doit.

Je m’explique :

Si je vous demande de vous souvenir du dernier gâteau que vous avez mangé, qu’est-ce qui ressort dans votre mémoire ? Chocolat, fruit, sucré ? Des arômes et du goût. Et le reste ? La texture, l’acidité, le fondant, le croquant ? Très peu de personne à qui j’ai demandé arrivent à s’en souvenir. Et ça marche pour tous les repas.

Pourquoi ?

Simplement parce qu’on est pas assez concentré sur ce que l’on mange. Et ça s’apprend.

L’avantage que j’y vois est de permettre de se poser et d’apprécier cette pause repas en mangeant lentement (argument contre le stress et donc l’obésité en plus) et d’avoir en tête un vrai catalogue gustatif et sensoriel qui vous fera re-découvrir les aliments.

Le contexte dans lequel vous mangez influe énormément sur cette appréciation : un repas à l’arrache en 5 mins ou devant la TV ou dans un endroit bruyant/stressant ne permet pas de se souvenir de ce qu’on mange et nous fait manger trop vite. On a plus l’impression de manger par obligation plutôt que par plaisir dans ce cas.

Je ne parle pas de plaisir universel comme le sucre auquel nous sommes tous naturellement prédisposés à apprécier (les fabricants de plats préparés le savent bien, avec du sel pour relever du goût…) mais plaisir de goûter et de cuisiner.

Avez-vous remarqué le lien étroit qu’il existe entre les aliments et les souvenirs ?

Peut-être que j’ai une vision de la nourriture qui n’est pas conventionnelle mais je pense sincèrement que mieux faire attention à ce qu’on mange permet d’être plus proches de l’aliment et d’éviter d’acheter de la merde en boîte et d’arrêter d’être des consommateurs à la con qui choisissent simplement par besoin primaire.

 

(NB : Merci Timo ! Et j’espère lire plus de nouvelles de ta part très bientôt!)

Le déferlement d’images sur les réseaux sociaux transforme-t-il notre cerveau ?

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À passer autant de temps à documenter nos vies, en oublierait-on de les vivre ? Aujourd’hui, les images sont partout dans nos existences. Un nombre croissant de chercheurs s’attellent à analyser les effets de cette hyper-connexion.

Source : Le déferlement d’images sur les réseaux sociaux transforme-t-il notre cerveau ?

 

Si je devais partager une citation et une photo de l’article ce seraient celles-ci :

Dans son article « Comment Instagram nous gâche les vacances », la journaliste Mary Pilon décrit que lors de la visite d’un temple au Cambodge, elle a observé une foule de touristes tellement préoccupés par le fait de prendre la photo parfaite et partageable sur les réseaux sociaux « qu’ils ne profitaient pas du moment présent ».

Prendre des photos… ou profiter du match ?

Prendre des photos… ou profiter du match ?

On voit la même chose dans les salles de concert… Étrange hein !

M’enfin, les gens font bien ce qu’ils veulent, s’ils ne sont pas capables de lâcher leur téléphone pour profiter de ce qui les entoure…