Curiosité

Apprenez à faire des cristaux et regardez les pousser, c’est très joli ! – La boite verte

Attention, cet article date de 9 ans, les informations peuvent ne plus être à jour...

Source : Apprenez à faire des cristaux et regardez les pousser, c’est très joli ! – La boite verte
Un peu de chimie contemplative :)

Ça me rappelle un truc qu’on m’avait parlé en stage : http://centrehelenegauthier.com/documents/methode_salivaire.pdf
(oui c’est pas pareil mais quelques fois des choses simples peuvent servir énormément !)

Le fruit miracle, le fruit du futur ? | Curieux² Savoir

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Transformer l’ordinaire en extraordinaire, ou comment les fruits de demain seront peut-être les meilleurs que vous ayez jamais mangé ! Découvrez la miraculine, la protéine qui rend l’acide sucré.

Source : Le fruit miracle, le fruit du futur ? | Curieux² Savoir

 

Très intéressant ! Un chercheur (Loïc BRIAND) où j’avais fait mon stage à l’INRA m’en avait parlé en détour dans une conversation, ça m’avait intrigué et j’ai oublié de chercher depuis…

Un bon article à lire :)

Quant à savoir le pourquoi on ne retrouve pas cette molécule un peu de partout, des explications sont présentes dans l’article ;) et je soupçonne un peu l’industrie/lobby du sucre de bloquer son développement.

Scandale autour de l’étiquetage alimentaire – Lemonde

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http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/07/08/scandale-autour-de-l-etiquetage-alimentaire_4966221_3244.html

 

Pour ceux n’ayant pas suivi, 4 « représentations graphiques » sont en test :

http://social-sante.gouv.fr/actualites/actualites-du-ministere/article/etiquetage-nutritionnel-marisol-touraine-annonce-le-lancement-de-l

Une proposition de codifier de manière simple et lisible les aliments d’un point de vue santé (% en graisse, sucre, sel) avec des codes couleurs. L’idée est bonne mais pourquoi ça ne m’étonne pas qu’il y ait des conflits d’intérêt ?

Le problème de ce genre de codes c’est leur trop grande simplification, il manque des critères à prendre en compte (comme le type d’huile employé par exemple).

Le problème pour les industriels et les grandes surfaces (qui ont aussi des produits conçues par elles-mêmes) est que leur produit va être clairement spécifié si leur consommation sera bonne ou mauvaise et donc, des pertes en terme de vente (sauf pour ceux ayant de bons produits).

 

Quand les étiquetages actuels sont complètement hors d’atteinte des consommateurs…

Si je vous donne la liste suivante, serez-vous en mesure de me dire à quoi ça correspond et quel(s) point(s) sont prioritaires sur le choix d’un aliment « sain » ?

  • densité énergétique
  • glucides totaux
  • dont glucides simples totaux
  • protéines
  • lipides totaux
  • dont acides gras saturés
  • sel ou équivalent sel

C’est bien beau de mettre une tonne d’info sur les étiquettes mais encore faut-il que les informations écrites soient accessibles pour tous… Peut-être est-ce la raison pour laquelle personne ne lit ces étiquettes ? Ou alors tout le monde s’en fout et on achète parce qu’on trouve l’aliment bon et c’est tout !

L’idée de faire une codification simple est donc essentielle mais encore faut-il qu’elle soit neutre et objective mais aussi plausible, car à trop vouloir simplifier on risque de voir des erreurs de notations comme ce fut le cas dans l’exemple cité dans cet article avec du cassoulet : http://www.lanutrition.fr/bien-dans-son-assiette/bien-manger/les-recommandations-de-lanutrition.fr/les-surprises-de-letiquetage-nutritionnel.html

 

Et après ?

Même si ce renouveau de l’étiquetage nutritionnel est bien, aucun engagement des industriels n’est prévu pour s’assurer de la mise en place de ce nouveau système.

Peut-être verrons-nous des changements de recettes ou de formules de la part des industriels afin d’améliorer les produits ? Ou encore, de voir des modifications afin d’avoir une meilleur note selon les critères évalués mais qui risque d’aboutir à des produits bien plus mauvais ?

Ou bien, il n’y aura aucun changement car l’argument principal pour la grande majorité des consommateurs reste le prix, qui n’est quelques fois pas justifié ou ne doit pas être tout le temps associé à un degré de qualité (même si on ne va pas se leurrer, un produit souvent bas de gamme est peu cher), d’où l’importance de ces étiquettes pour révéler le vrai du faux.

Explain HOMEOPATHY with a bag o’ dicks : Dodgy Comics – lehollandaisvolant

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http://lehollandaisvolant.net/?id=20160702131724

Ahah excellent !

 

L’homéopathie est, pour rappel, une méthode de soin basée en partie sur un effet de similitude : on soigne le mal par un composé qui induit le même mal en question mais avec des doses tellement infimes, comprenez par là 1 molécule dans le cacheton, voire aucune (ce qui revient au même) par des méthodes dites de dilution successives : on met une faible quantité de principe actif (la molécule qui a un effet néfaste) dans une grande quantité d’eau (en général 1ml de « poison » dans 99ml d’eau), on prélève 1ml de ce mélange que l’on remet dans 99ml d’eau et on recommence le cycle.

Principe de la dilution

Principe de la dilution – Un cycle = 1CH (dilution au centième)

 

Je veux bien croire qu’il puisse y avoir des molécules dans la première dilution mais après ?

Au bout de 4 dilutions, on a 1 nanogramme de molécule (soit 10⁻⁹ g, ou encore 0,000000001g), qui est la limite maximale d’efficacité physiologique des molécules pouvant agir à faibles doses dans le corps).

Vous regarderez sur les tubes homéopathiques, il est inscrit le nombre de dilution (ex pour l’arnicalme : 9CH, donc 9 dilutions).
Il y a certains comprimés vendus qui sont à 30CH…
En gros, c’est du sucre (qui sert à avoir l’effet solide du médoc) vendu au prix d’un médoc, aucun risque de surdosage, c’est pour ça que c’est en libre service. Mais c’est stipulé qu’au bout de quelques jours, si les douleurs continuent, il faut aller consulter son médecin.

Je ne suis pas contre l’homéopathie, c’est une demande des gens. C’est amplement suffisant pour 90% des bobos quotidiens, il suffit d’attendre que notre corps se soigne tout seul. Mais comme dans les pays civilisés/industrialisés/lobbyisés on nous incite à prendre des médocs pour se sentir bien et se soigner (cf les antibio contre les virus… *hum hum*), on se sent forcément mieux après en avoir pris, même si c’est subjectif et il ne faut pas négliger les effets de notre inconscience sur notre corps.

Je suis simplement contre sa vente par des entreprises se disant pharmaceutiques et donc scientifiques.

 

Pour le coup de la BD, l’illustration se base sur un autre principe dit de la « mémoire de l’eau » (un bon lien avec des images pour comprendre : http://www.unice.fr/zetetique/articles/HB_memoire_eau.html). En gros, un principe sorti d’une expérience complètement foirée et bancale subventionnée par le lobby homéopathique pour justifier l’efficacité de l’homéopathie et ce, même en absence de molécules.
Je leur réponds ceci :

 

Donc, pour tous les râleurs que je lis sur les forums qui insultent les scientifiques de charlatans et ne jurent qu’envers les pseudo-sciences : on se moque de détruire votre univers de bisounours où les pouvoirs mystiques sont supérieurs à ce que l’on sait et ce qu’on découvre, vous pouvez continuer à y croire (et je pense qu’il est important de croire en quelque chose mais pas au point de démonter les Sciences qui ont des concepts tangibles et concrets), mais n’oubliez pas que sans ces vrais chercheurs et les bases des vraies Sciences que l’on connaît aujourd’hui, on serait encore au Moyen-Âge dans un monde gouverné par l’ignorance et l’obscurantisme de convictions datant de plusieurs siècles basés sur aucun fondement réel et vous n’auriez pas le confort, la santé et la technologie que l’on a maintenant (même si je plussoie qu’il existe des dérives que je ne cautionne pas).

 

Pour ma part je crois qu’une bonne alimentation et du repos peuvent soigner, c’est une conviction qui, équivaut sans doute celle pensant que l’homéopathie peut soigner et ça me suffit à me sentir mieux après un bon repas, une bonne tisane chaude, du chocolat et une bonne nuit. De l’autopersusaion gratuite et vous savez quoi ? Ça marche !

Quelques mots sur l’odorat

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http://www.cortex-mag.net/olfaction-les-maitres-parfumeurs-ont-ils-un-don/

http://www.marketing-professionnel.fr/tribune-libre/marketing-olfactif-201606.html

 

L’odorat est quelque chose dont on a oublié l’importance, faisant passer ce sens au rang d’un reste primitif, désuet voire animal.
Pourtant, on sent tout et tout le temps, même si on ne s’en rend pas compte.

Le premier lien montre pourquoi les « nez » sont des nez et ce qui les différencie des gens comme vous et moi niveau odorat. Un test que j’aime bien faire c’est essayer de se remémorer une odeur par exemple de l’orange là, comme ça, de tête. Pour moi c’est quasiment impossible, pour d’autres c’est faisable à des degrés de difficulté plus ou moins importants.

Le second article présente quelque chose de beaucoup moins connu au niveau de la vente et du marketing, mais qui ont un gros impact, surtout émotionnel. Une enseigne très connue utilisant ce procédé est « Nature & Découvertes ».

Et je remets un article pour ceux qui ne l’ont pas lu : https://lokoyote.eu/aromes-et-odeurs/